ESTELLE LAGARDE
L'Atelier Publimod
Du jeudi 6 décembre 2012 au jeudi 11 avril 2013
C'est le moment de pointer.
Les photographies d'Estelle Lagarde sont réalisées dans des lieux insolites et à l'abandon afin de dégager de ces endroits l'empreinte de leurs anciens locataires. Ainsi, ses séries Dame des Songes (2006) et Contes Sauvages (2007) évoquaient le deuil tout en cherchant à apprivoiser la beauté.
L'artiste met ainsi en scène des personnages fantomatiques et masqués et permet, grâce à sa maîtrise de la mise en scène, de matérialiser son humour dans ses œuvres.
L'Atelier Publimod de Paris vous propose ainsi de découvrir sa série Lundi Matin, qui met en scène différents corps de métiers au travail
L'artiste met ainsi en scène des personnages fantomatiques et masqués et permet, grâce à sa maîtrise de la mise en scène, de matérialiser son humour dans ses œuvres.
L'Atelier Publimod de Paris vous propose ainsi de découvrir sa série Lundi Matin, qui met en scène différents corps de métiers au travail
LA CRISE ÉCONOMIQUE PAR L'ŒIL D'ESTELLE LAGARDE !
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| Le standard ,série lundi matin |
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| Dépression patronale, série " lundi matin " photo Estelle Lagarde |
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| La grande réunion lundi matin |
Du jeudi 6 décembre 2012 au jeudi 11 avril 2013
C'est le moment de pointer.
Les photographies d'Estelle Lagarde sont réalisées dans des lieux insolites et à l'abandon afin de dégager de ces endroits l'empreinte de leurs anciens locataires. Ainsi, ses séries Dame des Songes (2006) et Contes Sauvages (2007) évoquaient le deuil tout en cherchant à apprivoiser la beauté.
L'artiste met ainsi en scène des personnages fantomatiques et masqués et permet, grâce à sa maîtrise de la mise en scène, de matérialiser son humour dans ses œuvres.
L'Atelier Publimod de Paris vous propose ainsi de découvrir sa série Lundi Matin, qui met en scène différents corps de métiers au travail.
Métro Saint Paul
Du jeudi 6 décembre 2012 au jeudi 11 avril 2013 :
- Du lundi au vendredi de 09:00 à 19:00
Plus d’information sur cette sortie :
Plus d’information sur l'adresse de l’evenement :
Adresse de cet événement
26 rue de Sévigné
75004 Paris
Tel: 01 42 71 65 10
Plus d’information
Hotel D Albret Direction Des Affaires Culturelles De La Mairie De Paris
31 des Francs Bourgeois
75004 PARIS
01 42 76 67 92
La fiction est au cœur de l’œuvre d’Estelle Lagarde. Depuis 1996, ses débuts d’auteur dans la photographie, la mise en scène est sa matière première, bien au delà de sa manière. Elle part de la réalité pour nous conduire vers le rêve, l’absurde, l’incongru. De « Dames des Songes » en « Contes Sauvages », d’« Hôpital » en « Maison d’Arrêt » (série inédite), c’est par le biais de l’étrange et de l’onirique qu’elle semble vouloir regarder et éprouver le monde qui l’entoure. Ce monde qui est aussi le nôtre. Estelle Lagarde joue avec le temps et la lumière.
lu dans la presse
Estelle Lagarde – Lundi matin
©
Du 6 mars au 11 avril 2013
Estelle Lagarde cultive avec bonheur un univers onirique qui, souvent, nous entraîne aux limites du conte et de la poésie. La photographe nous embarque ici dans un rêve angoissant : sur le terrain d'un lieu où des gens ont vécu et travaillé. Restent seulement, aujourd'hui, des traces de leur existence, de leur quotidien, dans le sillage de leurs ombres fantomatiques… Une histoire grinçante qui illustre nos peurs, possibles ou fantasmées, de lendemains qui déchantent.
Bénédi
LA CRISE ÉCONOMIQUE PAR L'ŒIL D'ESTELLE LAGARDE !
L
a fiction est au cœur de l’œuvre d’Estelle Lagarde. Depuis 1996, ses débuts d’auteur dans la photographie, la mise en scène est sa matière première, bien au delà de sa manière. Elle part de la réalité pour nous conduire vers le rêve, l’absurde, l’incongru.
De « Dame des Songes » en « Contes Sauvages », d’« Hôpital » en « Maison d’Arrêt » (série inédite), c’est par le biais de l’étrange et de l’onirique qu’elle semble vouloir regarder et éprouver le monde qui l’entoure. Ce monde qui est aussi le nôtre.
Estelle Lagarde joue avec le temps et la lumière. Basée sur une durée de pause plus ou moins longue, la technique de l’artiste génère des lumières irréelles, enveloppe les personnages d’un halo mystérieux et fragile. Toutes les photographies sont réalisées à la chambre, sur tirages argentiques. La rencontre avec un lieu est le facteur déclenchant et tangible d’une construction visuelle, d’une plongée dans la fiction, et dans un mouvement retour, d’une possible interrogation du réel. Son œil de photographe est aussi celui d’une architecte : sur le terrain, en découvrant des bâtiments en passe d’être détruits, réhabilités et destinés à une nouvelle vocation, naît l’idée d’une nouvelle mise en scène.
Cette nouvelle série, « Lundi matin », est d’abord la découverte d’un étonnant garage automobile abandonné. Le lieu d’une activité que l’on devine intense, laissé à l’abandon, et depuis régulièrement visité par des tagueurs et des graffeurs, dont le sol semble peu à peu se recouvrir d’éléments végétaux en phase de décomposition.
C’est ce théâtre qu’Estelle Lagarde choisit pour évoquer à sa manière la crise économique qui perdure, la menace du chômage, le harcèlement, la dépression dans le monde de l’entreprise. La narration d’une semaine de travail lie les images entre elles. Chacune d’elles, de manière symbolique, mais également à échelle humaine, fait référence aux tourments auxquels est soumise notre société dans son ensemble, comme aux conséquences les plus quotidiennes et banalement douloureuses.
À chaque jour suffit sa peine… et à chaque image d’Estelle Lagarde des mots qui sonnent comme des rengaines : « occupation », « solidarité », « résignation », « séquestration », « grève », « solitude », « licenciement »…
C’est sur ce terrain de l’inquiétant, de l’aberrant, mais aussi avec distance et peut-être humour, que la photographe nous laisse le choix de nous questionner ou de nous divertir, ou les deux à la fois. Si elle s’amuse avant tout avec cette mise en scène, comme dans ses précédentes séries, elle ne souhaite ni provoquer ni interdire nos interrogations les plus graves sur le monde, sur l’évolution et l’incongruité de celui ci. Elle se joue des « clichés » de la crise économique, de la lutte des classes. Elle se les réapproprie sans regard blasé ou condescendant, mais en leur insufflant une ambiguïté, une poétique de l’absurde. Estelle Lagarde nous propose une vision mais ne l’envisage pas comme un constat humain, social ou philosophique.
Entre surréalisme et théâtralité, l’artiste interroge l’espace, l’occupant, et la relation qui les unit. Décors visibles sur les images d’Estelle Lagarde, les gravats et la décrépitude représentent le chaos et le délabrement de notre univers que nous ne savons ou ne voulons pas voir. Dans lequel nous déambulons même, sans nous en rendre compte. Elle se joue et joue du réel comme du rêve. Nous devenons nous mêmes les spectres qui traversent ses images.
La lumière qui pénètre les photographies d’Estelle Lagarde semble également traverser les personnages, nous indiquer tout à la fois leur passé, leur histoire et leur fragilité, leur évanescence. Une trace visuelle leur survit et oscille entre rêve et réalité. Estelle Lagarde interroge l’image, la représentation photographique en même temps qu’elle se joue de la réalité mais aussi de la théâtralité. Elle rend beau et amusant un sujet grave. Nous pouvons alors osciller entre deux réactions, avoir deux échappatoires : l’angoisse ou l’éclat de rire. Souvent les deux mêlées l’une à l’autre.
Estelle LAGARDE
« Les photographies d'Estelle Lagarde sont réalisées dans des lieux à l'abandon – château, hôpital, maisons promises à la démolition. Ce n'est pas la poésie des ruines qui attire cette jeune femme, mais le fait que ces endroits chargés de la présence de leurs anciens locataires constituent des sanctuaires propices à l'évocation d'êtres disparus. Estelle Lagarde a perdu son compagnon, foudroyé par un cancer. Ses deux premières séries de photographies, Dame des Songes (2006) et Contes Sauvages (2007), évoquent le deuil et une tentative de retour dans le monde des vivants. Apprivoisant l'insupportable par la beauté, cette architecte de formation met en scène des personnages fantomatiques, masqués, des femmes en robe du soir qui errent entre deux réalités, celle des morts et la nôtre. Dans Hôpital (2007-2008), son œuvre la plus récente, les spectres cèdent la place à des êtres de chairs et de sang. Estelle Lagarde y révèle par des allégories les peurs et le dénuement que l'on ressent dans les établissements hospitaliers. L'impression d'être dépossédé de soi. Appuyée par une très grande maîtrise de la mise en scène, la photographe matérialise avec un humour froid, proche de la colère, le désarroi des patients et le retour à l'enfance de certains comme ultime échappatoire. »
Luc Desbenoit pour Télérama, n° 3089
Estelle Lagarde makes photographs in neglected places - château, hospital, houses set for demolition. This is not the poetry of ruins that attracts this young woman, but the fact that these places charged with the presence of their former tenants are sanctuaries conducive to the evocation of vanished beings. Estelle Lagarde has lost his companion, struck down with cancer. Her first two series of photographs, “Dame des Songes” (2006) (Queen of Dreams), and “Contes sauvages” (2007) (Wild Tales) evoke bereavement and an attempt to come back into the world of the living. She tames the unbearable through beauty. Estelle Lagarde, architect, features ghostly, masked characters, women in evening dress who wander between two realities, that of the dead and ours. In “Hôpital” (2007-2008) (Hospital), her most recent works, the spectra are being replaced by beings of flesh and blood. Her allegories reveal the fears and deprivation felt in hospitals: the feeling of being dispossessed of oneself. Supported by a great mastery in directing, this photographer materializes, with a cold humor, close to anger, the patients’ disarray and the return to childhood, which is, for some of them, the ultimate escape.
Luc Desbenoit for Télérama, n° 3089
Vidéo présentation par Ryan Production
et l'agence Révélateur
et l'agence Révélateur
Expositions personnelles (sélection)
2013
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Mathilde Hatzenber Gallery, Bruxelles, série "Lundi Matin"
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Atelier Publimod, Paris 3ème, série "Lundi Matin"
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2012
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Galerie Lefor Openo, Paris 4ème, présentation nouvelle série "Lundi Matin", mois de la photo OFF
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Prieuré Saint-Vincent, Chartres, avec la Direction des Affaires Culturelles de la ville
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Radial Galerie Art Contemporain, Strasbourg
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Galerie Brissot, Paris 3ème, «Dame des songes»
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Espace Saint-Louis, Bar-Le-Duc, «Les Petites Comédies - 3 séries photographiques»
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2011
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Galerie Lefor Openo, Paris 6ème exposition « Dame des Songes et Contes Sauvages »
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Médiathèque hôpital Saint-Louis à Paris, « La Traversée Imprévue » dans le cadre d'Octobre Rose
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Institut Curie, Paris 5ème, « La Traversée Imprévue » dans le cadre des « Mardis de Curie »
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2010
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Mairies des 18ème, 14ème et 11ème, Paris, Exposition « La Traversée Imprévue - adénocarcinome », dans le cadre du mois du cancer du sein
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Galerie Dialogos, Paris 3ème, exposition « La Traversée Imprévue - adénocarcinome », à l'occasion de la sortie du livre
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2009
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Galerie Lefor Openo, Paris 6ème, www.leforopeno.com
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Galerie Dialogos, Double exposition Paris 3ème/Cachan, www.galerie-dialogos.com
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2008
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Galerie « Little Big Galerie », Constance Lequesne, Paris
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2007
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Bibliothèque François Villon, Paris
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2006
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Galerie AAB, Paris
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Expositions collectives et salons (sélection)
2013
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59 rue de Rivoli, Paris 1er, exposition "Portraits" avec Luc Hossepied et Marie-Jeanne Caprasse
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Spéos Gallery, Paris, exposition collective avec Millénium Images
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2012
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Exposition « La traversée imprévue », dans le cadre d'une semaine évènementielle organisée par GE Healthcare, siège de Buc, France (77)
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Théâtre de l’Etoile du Nord, Paris 18ème, exposition « Je est un autre », avec l’agence Révélateur
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FotoFever, avec la galerie 138, Bruxelles
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Galerie Mathilde Hatzenberger, Bruxelles, « Behind the curtain »
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Galerie La Ralentie, Paris 11ème , « Oui body », avec l'agence Révélateur
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Au Labo 13, Paris 13ème, « Quand l'art nous dévoile... », un événement organisé par Nell Event
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Les Photographiques, Festival de l'Image, Centre des Expositions Paul Courboulay, Le Mans
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2011
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Bursa Photography Festival, Turquie
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Chic Art Fair, Cité de la Mode et du Design, Paris, avec Mathilde Hatzenberger Gallery et l'agence Révélateur
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Exposition « NineEleven », Mathilde Hatzenberger Gallery, Bruxelles
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Affordable Art Fair, Bruxelles, avec l'association Pink Ribbon et Mathilde Hatzenberger Gallery
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2010
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Salon Art Elysées, avenue des Champs-Elysées, Paris 8ème, avec la galerie Lefor Openo
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Salon Lineart, Gand, Belgique
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SIDIM, Salon International du design de Montréal
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Galerie Brissot, « Pages Russes », Paris 7ème
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Centre Culturel Aragon, Oyonnax (01)
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2009
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Crane Kalman Brighton Gallery, Grande-Bretagne, www.cranekalmanbrighton.com
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Pingyao International Photography Festival, Shanxi, Chine
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Musée de Tianjin, Chine
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Musée Robert Dubois-Corneau, ville de Brunoy (91)
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Festival International de la Photographie, Arles, Charlet Photographies
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Galerie Brissot et Linz, Paris 7ème, www.contemporaryart-gallery.com
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Montréal en Lumière, La Nuit Blanche, Montréal, www.mouvementartpublic.com
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Art Bridge Gallery, Beijing, Chine
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Salon Europ'Art, Genève, Suisse
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2008
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Manifestation d'Art Contemporain MAC-Paris, espace Champerret
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Nuit de la Photographie Contemporaine, 1ère édition, Paris
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Centre Culturel Condorcet, Viry-Chatillon
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Centre Iris, Carte Blanche à Dominique Charlet, Paris
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Espace d'Art Contemporain Dialogos, Cachan
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Centre Culturel Saint Jérôme, Toulouse
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2007
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MAC 2007, Manifestation d'Art Contemporain, Espace Champerret, Paris
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Les Rencontres Leica, Espace Commines, Paris
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Le Bunker, Festival Manifesto, Toulouse
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Installation au Parc des Enclos, « Zoo », avec l'Arpac, Deauville
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Espace Dialogos, « Polyvisions et Métamorphies », Cachan
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Galerie AAB, exposition « Dé-visage(s) », Paris
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2006
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Espace Beaurepaire, rétrospective dans le cadre du Mois de la Photo-off, Paris
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Agence Ebloui, sélection photographies d'auteurs, Mois de la Photo-off, Paris
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Delta, Paris
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Espace Beaurepaire « Visions de Voyage » avec Paris-Photographique
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2005
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Galerie St-Martin à Paris
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Edition
2010
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« La Traversée Imprévue - adénocarcinome », aux éditions La Cause des Livres textes et photographies Estelle Lagarde, 150 pages, 70 photographies noir et blanc, 8 couleurs, préface Dominique Gros, sénologue à Strasbourg et auteur de l'ouvrage « Cancer du sein : entre raison et sentiment »
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Bourses, prix, soutiens financiers, partenariats
2012
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Sélectionnée au concours « Photo d'Hôtel Photo d'Auteur » pour 2013
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2012
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Aide à la production de l’Atelier Publimod, Paris
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2010
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The Julia Margaret Cameron Award Professionnal, finaliste
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2009
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Bourse du talent n°38, finaliste, www.photographie.com
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2009
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Bourse d'aide à la diffusion, fondation E-C-ART Pomaret
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2007
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Bourse d'aide à la création, fondation E-C-ART Pomaret
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2006
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2ème prix, catégorie « les gens », Concours Images Internationales, Photo Sélection
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Interventions, Rencontres, Débats
mars 2012
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Intervention à la Journée Médecine et Psychanalyse, Le Mans, "Le sujet en cause face à la maladie grave"
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février 2012
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Intervention à la journée d'étude du collectif des doctorants de l'axe Experice, centre de recherche universitaire de Paris 13/Nord-Paris8, "Ce corps qui nous est chair"
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janvier 2012
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Exposé autour du livre La traverse imprévue + débat, dans le cadre du séminaire en master, CNAM, Paris
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novembre 2011
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Intervention à la table ronde autour du sujet: "Les nouvelles figurations de soi" dans le cadre des séminaires de la revue "le sujet dans la cité".
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novembre 2011
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Intervention à la table ronde de l'Institut Curie, sujet: "Quand la maladie rend créative"
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octobre 2010
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Rencontre-débat-dédicace, librairie Kléber, Strasbourg
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Radio, TV
janvier 2013
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France Inter, émission "Ouvert la nuit", avec Baptiste Etchegaray
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octobre 2012
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TEVA, reportage, sujet : "Quand la maladie change nos vies"
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octobre 2012
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France 24 : "La toile mobilisée contre le cancer du sein"
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octobre 2012
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GE Healthcare, "Meet Estelle Lagarde, GetFit France Ambassador"
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octobre 2012
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Radio Curie.fr, "C'est mon histoire", diffusion le 11/10/2012
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novembre 2011
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Les maternelles, France 5, "sujet : avoir un bébé après un cancer"
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novembre 2010
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Journal télévisé, TF1
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novembre 2010
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Journal télévisé, France 2
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octobre 2010
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Idfm radio Enghien, "Les mots, des livres !" , Laurence Ducournau
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octobre 2010
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Vivre FM, Benjamin Moreau
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Collections publiques
2012
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Acquisition par la ville de Chartres
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Agences
2007
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Millénium Images, London, www.milim.com
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2006
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Ebloui, Paris
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Agents artistiques / Galeries
depuis 2010
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Représentation pour la Belgique :
Mathilde Hatzenberger Gallery, www.mathildehatzenberger.eu
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Représentation pour la France et l'Europe :
Agence Révélateur, www.agencerevelateur.com
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