KENRO IZU

STILL LIFE de Kenro Izu

   
    derniers jours,
Jusqu'au  24 mai 2014
 In camera galerie


 21 Rue las Cases, 75007 Paris, France



    Ouvert : du mardi au samedi de 14h à 19h
   
    Métro : Solférino

    Site web : http://www.incamera.fr

in camera présente en partenariat avec Howard Greenberg Gallery un ensemble de photographies de Kenro Izu extrait de sa série “ Still Life ”.


L'une des force de Kenro Izu est de réveiller la vie en toute chose. Comme il le dit : "la vie et la mort m'intéressent, les deux se trouvent dans la pierre". Sa série des "Still Life", photographies de fleurs et de nus évoque cette même dualité. Le spectateur intrigué ne distingue plus le végétal de l'humain : une courbe délicate d'un corps se fait feuille, l'enchevêtrement de pétales rappelle le gracile mouvement d'une main, à moins que cela ne soit l'inverse...


Né à Osaka, au Japon en 1949, Kenro Izu a fait des études d’art à Nihon University à Tokyo. Il vit aujourd’hui à New York où il s’est installé en 1974.

Kenro Izu a commencé cette série de photographies de fleurs en 1984.

Kenro Izu adore toute forme de vie et trouve la beauté dans chaque moment, chaque étape de la vie. Une fleur est belle quand elle est en pleine floraison, mais il peut aussi admirer et photographier la beauté de la même fleur lorsque sa floraison est terminée ou que cette fleur est fanée. Il adopte la même démarche lorsqu’il photographie des nus ou des lieux sacrés de culte.

Pour ses photographies, Kenro Izu utilise une chambre Deardoff, modifiée spécialement pour lui, qui donne des négatifs de 35,56 cm x 50,80 cm. Il réalise lui-même, par contact, ses tirages au platine-palladium. Privilégié par les plus grands photographes, tels que Mapplethorpe, Edward Weston, Irving Penn et avant eux Curtis, Stieglitz et Steichen, ce procédé, est aujourd’hui particulièrement prisé par les conservateurs de musées et les collectionneurs, pour sa gamme étendue de tonalités, l’unicité qu’il offre à chaque image, sa stabilité exceptionnelle, et sa longévité.







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