SALON DE LA PHOTO


Salon de la Photo 2015 :
 le Salon de la Photo prendra ses quartiers au parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris, du 5 au 9 novembre 2015.

(1 place de la Porte de Versailles 75015 Paris)


    Jeudi 5, vendredi 6 et dimanche 8 novembre de 10h à 19h
    Samedi 7 novembre de 9h à 19h
    Lundi 9 novembre de 10h à 18h

Le club recommande

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EXTRAITS DU PROGRAMME DU SALON


Le Salon de la Photo  sera l’occasion pour les marques de présenter leurs dernières nouveautés dans les domaines de la prise de vue,  Il accueillera également des expositions inédites, des conférences, des ateliers et des débats, ainsi qu’un village de vente.




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S'initier, se former, se perfectionner à la photo/vidéo.


Le salon de la Photo
est l’opportunité de s’initier ou se perfectionner aux techniques photographiques : prise de vue, éclairage, cadrage, retouche, tirage…

Chaque année, le Salon de la Photo offre la possibilité de participer aux nombreux ateliers techniques et workshops mis en place par nos partenaires de la presse spécialisée et professionnelle.


AGORA DU NET

Jeudi 5 novembre

    11h : Nikon Passion / Jean-Christophe Dichant : Gérer vos photos avec Lightroom c’est simple !
    12h : Invitée Pro / Manuela Dournes : Le droit d’auteur des photographes est-il en danger ?
    13h : Invité Pro / André Amyot : Photographes, soyez conscients de votre véritable valeur
    14h : Photo Passion : Comprendre le trio Ouverture / Vitesse / ISO
    15h : Dans Ta Cuve / Alexis : L’argentique tout de suite !
    16h : Invité Pro / Gilles Theophile : 30 minutes de trucs et astuces Lightroom
    17h : Photo Passion : La vidéo, quels réglages pour quelles utilisations ?

Vendredi 6 novembre


    10h : La Chaine Photo / Julien Gérard : Réussir une campagne de Crowdfunding
    11h : Photo Passion : Filmer avec un drone
    12h : Invitée Pro / Céline Jentzsch : Comment construire un petit reportage photo en voyage
    13h : Reportage Photo : Publier ses photos sur internet
    14h : Nikon Passion / Jean-Christophe Dichant : Maîtrisez l’exposition avec votre reflex Nikon
    15h : Dans Ta Cuve / Thomas Goupille : Comment filmer la photographie en 2015 ?
    16h : Invitée Pro / Florence AT : Comment travaille un photographe professionnel ?
    17h : Invitée Pro / Lisa Tichané : Photographier les enfants, 5 clés pour des images naturelles

Samedi 7 novembre

    10h : Invité Pro / Jean-Marie Sepulchre : La haute définition, jusqu’où ?… Chronique d’un 250Mp annoncé
    11h : Photo Passion : L’utilisation des filtres en photos
    12h : Invité Pro / Gérard Michel-Duthel : Quels appareils pour quelles photos ?
    13h : Invité Pro / Gildas Lepetit-Castel : Être photographe de rue aujourd’hui
    14h : Dans Ta Cuve / Paul Allain : Le Laboratoire de l’an 2000
    15h : Photo Passion : comment stabiliser sa caméra vidéo
    16h : Nikon Passion / Jean-Christophe Dichant : Gérer vos photos avec Lightroom c’est simple
    17h : Invitée Pro / Fabienne Gay Jacob Vial : Entre presse et entreprise quelle place pour le photojournalisme ?

Dimanche 8 novembre

    10h : La Chaine Photo / Thomas Delahaye : La Photo animalière en pratique
    11h : Invité Pro / Philippe Chaudré : Comment utiliser Lightroom Mobile et Lightroom connecté
    12h : Photo Passion : La mise au point en vidéo
    13h : Nikon Passion / Jean-Christophe Dichant : Maîtrisez l’exposition avec votre reflex Nikon
    14h : Photo Passion : Réaliser un portrait
    15h : Dans Ta Cuve / Alain Levi et Romain Alary : Stenop.es, des sténopés dans des apparts
    16h : Invitée Pro / Rachel Nething : Le webmarketing pour les photographes : 5 erreurs à ne pas commettre
    17h : Invité Pro / Eric Delamarre : Combien vendre une photo ? Méthodes de calcul et raisonnement

Lundi 9 novembre

    11h : Photo Passion : Filmer avec un drone
    12h : Nikon Passion / Jean-Christophe Dichant : Gérer vos photos avec Lightroom c’est simple
    13h : Invité Pro / Christophe Flers : Reportage de Mariage : le paradoxe de la proximité
    14h : Invité Pro / Vincent Lambert : Perdus dans les réglages ? Simplifions notre appareil Nikon
    15h : Dans Ta Cuve / Vincent Montibus : Quels appareils pour votre pratique argentique ?
    16h : Reportage Photo : Comment raconter une histoire avec ses photos


AQUAMONDE

AquaMonde proposera tous les jours des conseils techniques pour la photo de plongée sous-marine et présentation d’une expo photo sous-marine.
APPPF

Pour la sixième année consécutive, l’A3PF présente sur son stand l’exposition des Photographies de l’année 2015. Le meilleur de la photographie européenne chez les professionnels avec 15 lauréats de la photographie animalière à la photographie culinaire. Et parmi ces 15 lauréats, la désignation du lauréat de la photographie de l’année.
Tout au long du Salon de la Photo, les lauréats et finalistes seront présents pour dédicacer leurs livres dont des livres en autoédition.

COMPÉTENCE PHOTO

Compétence Photo propose plusieurs animations sur son stand :

• CONFÉRENCES : 36 conférences sur un grand nombre de thématiques.
• EXPOSITION : une exposition de jeunes talents sur le thème « Les femmes de ma vie »
• PORTFOLIOS : des lectures de portfolios quotidiennes
• DÉDICACES : des séances de dédicaces tous les jours

Toutes les conférences :
JEUDI 5 NOVEMBRE

    11h : Comprendre et maîtriser le « landscape nude », avec Sébastien Roignant de F/1.4
    12h : Bien choisir son papier pour un tirage, avec James Vil d’Art Photo Lab
    13h : Retouche beauté avec Photoshop, avec Hervé Cafournet
    15h : Comprendre et maîtriser DxO, avec Christophe Gressin
    16h : La vie de reporter, avec Philippe Rochot
    17h : Fabriquer ses accessoires studio, avec Hervé Cafournet
    18h : Bien choisir un parapluie pour le studio, avec Hervé Cafournet

VENDREDI 6 NOVEMBRE

    11h : Retouche beauté avec Photoshop, avec Hervé Cafournet
    13h : Le droit à l’image, avec Joëlle Verbrugge
    14h : La photo urbaine / L’architecture, avec Éric Forey
    15h : La subligraphie, avec Philippe Schlafmunter de Graphic Réseau
    16h : La photo de paysage, avec Christophe Gressin
    17h : Les métiers de la photographie, avec Thomas Goupil de Cinq26
    18h : Statuts professionnels et fiscalité, avec Joëlle Verbrugge et Éric Hainaut

SAMEDI 7 NOVEMBRE

    10h : Fabriquer ses accessoires studio, avec Hervé Cafournet
    11h : Hybride : le reflex killer, avec Jacky Ley
    12h : Le droit à l’image, avec Joëlle Verbrugge
    13h : La vie de reporter, avec Philippe Rochot
    14h : Retouche de portrait avec Photoshop, avec Hervé Cafournet
    15h : La photo urbaine / L’humain en milieu urbain, avec Éric Forey
    16h : Bien choisir son papier pour un tirage, avec James Vil d’Art Photo Lab
    17h : Vendre ses photos, avec Joëlle Verbrugge
    18h : Maîtriser Lightroom 6, avec Christophe Gressin

DIMANCHE 8 NOVEMBRE

    11h : La photo urbaine / L’architecture, avec Éric Forey
    12h : Le droit à l’image, avec Joëlle Verbrugge
    13h : Fabriquer ses accessoires studio, avec Hervé Cafournet
    14h : Bien choisir un parapluie pour le studio, avec Hervé Cafournet
    15h : Maîtriser Lightroom 6, avec Christophe Gressin
    16h : Vendre ses photos, avec Joëlle Verbrugge
    17h : Comprendre et maîtriser le « landscape nude », avec Sébastien Roignant de F/1.4
    18h : Retouche de portrait avec Photoshop, avec Hervé Cafournet

LUNDI 9 NOVEMBRE

    11h : Retouche beauté avec Photoshop, avec Hervé Cafournet
    13h : La photo urbaine / L’humain en milieu urbain, avec Éric Forey
    14h : Les métiers de la photographie, avec Thomas Goupil de Cinq26
    15h : Bien choisir son papier pour un tirage, avec James Vil d’Art Photo Lab
    16h : La photo de paysage, avec Christophe Gressin

FISHEYE

Fisheye peut attirer un public plus jeune, plus connecté avec des animations dédiées :

    Conférences avec la participation de Lense, avec pour thème les réseaux sociaux, la photographie contemporaine, les pratiques d’aujourd’hui autour de la photo…
    Rencontre avec des photographes/signatures (Notamment avec Théo Gosselin…)
    Lectures de Portfolio
    Animations menées par Impossible, avec des ateliers portrait, des « labs »…

FPF - FÉDÉRATION PHOTOGRAPHIQUE DE FRANCE

Cette année sur le Salon de la Photo la Fédération Photographique de France présentera une animation pédagogique destinée aux photographes amateurs.
Elle s’intitulera « Une journée au Photo Club ». Cette journée sera découpée d’heure en heure en une série d’animations telles qu’elles se pratiquent dans les clubs : prise en main de l’appareil, histoire de la photographie, analyse de l’image, prise de vue en studio, traitement de l’image, la chaîne colorimétrique, lecture de portfolios.

LE MONDE DE LA PHOTO.COM

    Nous organiserons plusieurs sessions par jour sur le thème des logiciels de flux de travail du photographe. L’idée est de présenter aux visiteurs toute l’organisation (éditer, trier, classer, organiser, retoucher, publier) qui dicte aujourd’hui les usages du photographe averti.

Intervenant : Gilles théophile, Patrick Lévêque

    Nous avons convié le photographe Jorge Camilo Valenzuela pour nous parler de son expérience sur la réalisation d’un documentaire (Jungle Spirit) avec des appareils reflex et des drones.

Intervenant : Jorge Camilo Valenzuela

L’ensemble de cette programmation constitue chaque jour durant le salon 5 à 6 sessions de 40min max. Il s’agira de véritables ateliers aidé que nous serons par les moyens que nous mettrons à la disposition de nos intervenants : grand écran, vidéoprojection, etc.

LES NUMÉRIQUES

Le projet est de délocaliser les rédactions des deux magazines sur le salon. Un déménagement en règle : bureau, salle de réunion, salle de test. Tout notre environnement de travail arrive au Salon de la Photo afin de montrer au public comment fonctionne un magazine photo.
L'idée est de pouvoir interagir avec le public curieux du fonctionnement d'une rédaction d'un magazine photo. Nous organiserons des rendez-vous avec le public afin de répondre à leurs questions techniques, mais également des lectures de portfolios pour découvrir de nouveaux talents et organiser sur place des publications en ligne.

NORMAL

Normal Magazine est une publication trimestrielle consacrée à la photographie d'art, orientée nue.
Entre le livre d'art et le magazine, Normal fait découvrir l'intimité des plus grands photographes contemporains ainsi que des nouveaux talents, à travers des séries d'entretiens, des portfolios et des séries exclusives mêlant l'art, le nu et la mode.

PHOTO

Fidèle à notre poulain, PHOTO réalise un stand à la manière de Balint Porneczi. Balint fait des portraits classiques, léchés, noir & blanc, gros grains, bref des portraits qu'on croirait réalisés à la chambre et qui sont en réalité réalisés avec un smart phone. En effet, l'un des filtres préférés des passionnés de photo fait avec un smart phone est le style ancien, le style sépia, le style argentique.
Nous avons donc décidé d'inviter les visiteurs du Salon de la Photo à venir se faire photographier à la chambre.
Venez vous faire photographier à l'ancienne avec toute la technologie d'aujourd'hui : La photographie d'aujourd'hui rend hommage à la photographie d'hier.
Nous organiserons aussi une séance de Dédicace du livre d'Arnaud Baumann et Xavier Lambours, dans le Ventre de Hara-Kiri, le Samedi 7 Novembre.

POLKA

    Tous les jours à 11 heures :

Lecture de portfolios par Dimitri Beck, rédacteur en chef du magazine Polka

    Tous les jours à 16 heures :

Polka vous fait découvrir une production vidéo d'un photographe de son choix
Présence du réalisateur si possible.

    Nous souhaitons aussi inviter plusieurs personnes à prendre la parole sur des thèmes différents (jour et horaire à définir):

- Un des membres de l'agence Myop (Philippe Guionie, Lionel Charrier ou Guillaume Binet...) viendra présenter le collectif, qui fête cette année les 10 ans.
- Edouard Elias, photographe, présentera son dernier travail documentaire sur la Légion étrangère (prix Rémi Ochlik 2015).
- Catalina Martin-Chico, photographe, parlera d'être une femme photojournaliste.
- Sacha Goldberger, photographe, expliquera comment il met sur pieds ses "super-productions" photo en studio.
- Nous souhaitons inviter des directeurs d'écoles photo (Efet, Spéos...) pour aborder la thématique de la formation photo.
- Présentation du webdocumentaire (présentation interactive) "SARCELLOPOLIS" de Sébastien Daycard-Heid (Visa d'or webdoc 2015)

RÉPONSES PHOTO

Sur le stand de Réponses Photo, les visiteurs pourront assister à des conférences menées par des experts sur différentes problématiques liées à la technique photographique (choix d'un appareil, d'un objectif, impression, calibrage d'écran, utilisation de logiciels et d'applications, etc) mais aussi s'inscrire pour participer aux lectures de portfolio. Par ailleurs un atelier GP se tiendra le week-end.
Les animations du Salon de la Photo 2015

Jeudi 5/11 - Traitez vos photos comme elles le méritent avec Lightroom - Comprendre le trio ouverture/vitesse/ISO - Photographie argentique et portrait photo - Vidéo, quels réglages pour quelles utilisations ?
Vendredi 6/11 - Filmer avec un drone - Publier ses photos sur Internet - Maîtrisez l'exposition avec votre reflex - Cinq 26, la revue audiovisuelle de la photographie
Samedi 7/11 - L'utilisation des filtres en photographie - Le laboratoire argentique de l'an 2000 - Comment stabiliser sa caméra - Traitez vos photos comme elles le méritent avec Lightroom
Dimanche 8/11 - La mise au point en vidéo - Maîtrisez l'exposition de votre reflex Nikon - Réalisez un portrait photo - Stenop.es
Lundi 9/11 - Filmer avec un drone - Traitez vos photos comme elles le méritent avec Lightroom - La photo argentique en 2015 - Comment raconter une histoire avec vos photos
AquaMonde proposera tous les jours des conseils techniques pour la photo de plongée sous-marine et présentation d’une expo photo sous-marine.
Pour la sixième année consécutive, l’A3PF présente sur son stand l’exposition des Photographies de l’année 2015. Le meilleur de la photographie européenne chez les
Agora du Net
Aquamonde
APPPFprofessionnels avec 15 lauréats de la photographie animalière à la photographie culinaire. Et parmi ces 15 lauréats, la désignation du lauréat de la photographie de l’année. Tout au long du Salon de la Photo, les lauréats et finalistes seront présents pour dédicacer leurs livres dont des livres en autoédition.

ANIMATIONS DU STAND
Compétence Photo propose plusieurs animations sur son stand : • CONFÉRENCES : 36 conférences sur un grand nombre de thématiques. • EXPOSITION : une exposition de jeunes talents sur le thème « Les femmes de ma vie » • PORTFOLIOS : des lectures de portfolios quotidiennes • DÉDICACES : des séances de dédicaces tous les jours

Lemondedelaphoto.com
Intervenant : Gilles théophile, Patrick Lévêque Nous avons convié le photographe Jorge Camilo Valenzuela pour nous parler de son expérience sur la réalisation d’un documentaire (Jungle Spirit) avec des appareils reflex et des drones. Intervenant : Jorge Camilo Valenzuela L’ensemble de cette programmation constitue chaque jour durant le salon 5 à 6 sessions de 40min max. Il s’agira de véritables ateliers aidé que nous serons par les moyens que nous mettrons à la disposition de nos intervenants : grand écran, vidéoprojection, etc.
Le projet est de délocaliser les rédactions des deux magazines sur le salon. Un déménagement en règle : bureau, salle de réunion, salle de test. Tout notre environnement de travail arrive au Salon de la Photo afin de montrer au public comment fonctionne un magazine photo.
L'idée est de pouvoir interagir avec le public curieux du fonctionnement d'une rédaction d'un magazine photo. Nous organiserons des rendez-vous avec le public afin de répondre à leurs questions techniques, mais également des lectures de portfolios pour découvrir de nouveaux talents et organiser sur place des publications en ligne.
Normal Magazine est une publication trimestrielle consacrée à la photographie d'art, orientée nue.
Entre le livre d'art et le magazine, Normal fait découvrir l'intimité des plus grands photographes contemporains ainsi que des nouveaux talents, à travers des séries d'entretiens, des portfolios et des séries exclusives mêlant l'art, le nu et la mode.
Fidèle à notre poulain, PHOTO réalise un stand à la manière de Balint Porneczi. Balint fait des portraits classiques, léchés, noir & blanc, gros grains, bref des portraits qu'on croirait réalisés à la chambre et qui sont en réalité réalisés avec un smart phone. En effet, l'un des filtres préférés des passionnés de photo fait avec un smart phone est le style ancien, le style sépia, le style argentique. Nous avons donc décidé d'inviter les visiteurs du Salon de la Photo à venir se faire photographier à la chambre.
Venez vous faire photographier à l'ancienne avec toute la technologie d'aujourd'hui : La photographie d'aujourd'hui rend hommage à la photographie d'hier. Nous organiserons aussi une séance de Dédicace du livre d'Arnaud Baumann et Xavier Lambours, dans le Ventre de Hara-Kiri, le Samedi 7 Novembre.
Les Numériques
Normal
Photo
Polka
Tous les jours à 11 heures : Lecture de portfolios par Dimitri Beck, rédacteur en chef du magazine Polka
Tous les jours à 16 heures : Polka vous fait découvrir une production vidéo d'un photographe de son choix Présence du réalisateur si possible.
Nous souhaitons aussi inviter plusieurs personnes à prendre la parole sur des thèmes différents (jour et horaire à définir):
- Un des membres de l'agence Myop (Philippe Guionie, Lionel Charrier ou Guillaume Binet...) viendra présenter le collectif, qui fête cette année les 10 ans.
- Edouard Elias, photographe, présentera son dernier travail documentaire sur la Légion étrangère (prix Rémi Ochlik 2015).
- Catalina Martin-Chico, photographe, parlera d'être une femme photojournaliste.
- Sacha Goldberger, photographe, expliquera comment il met sur pieds ses "super-productions" photo en studio.
- Nous souhaitons inviter des directeurs d'écoles photo (Efet, Spéos...) pour aborder la thématique de la formation photo.
- Présentation du webdocumentaire (présentation interactive) "SARCELLOPOLIS" de Sébastien Daycard-Heid (Visa d'or webdoc 2015)
Sur le stand de Réponses Photo, les visiteurs pourront assister à des conférences menées par des experts sur différentes problématiques liées à la technique photographique (choix d'un appareil, d'un objectif, impression, calibrage d'écran, utilisation de logiciels et d'applications, etc) mais aussi s'inscrire pour participer aux lectures de portfolio. Par ailleurs un atelier GP se tiendra le week-end.
La grande exposition : Une Amitié argentique
Gianni Berengo Gardin


Crédits photos : © Gianni Berengo Gardin/ Courtesy Fondazione Forma per la Fotografia & © Elliott Erwitt/ Magnum Photos

Le festival Circulation(s) s’associe avec le Salon de la Photo en 2015 en organisant une exposition à hauteur d’enfants.

Le festival Circulation(s) s’associe avec le Salon de la Photo en 2015 en organisant une exposition à hauteur d’enfants. Little Salon présentera les mêmes séries que dans l’exposition principale et les Zooms 2015, mais avec une scénographie sur panneau adaptée au jeune public. Des jeux inspirés par les oeuvres exposées seront proposés aux enfants afin d’accompagner leur visite de façon ludique et créative (jeu de memory, jeu des 7 erreurs, jeu de logique et un jeu qui les transformera en scénographe en herbe…) Un livret-jeu sera disponible pour accompagner la visite tout en s’amusant.
Le festival Circulation(s)

Organisé par Fetart, association animée par une équipe de bénévoles, le Festival Circulation(s) basé au CENTQUATRE à Paris propose un regard croisé sur l’Europe à travers la photographie. Unique en son genre, il a pour vocation de faire émerger les talents de la jeune photographie européenne et de fédérer un réseau d’acteurs partageant la même ambition que Fetart : aider les jeunes photographes à s’insérer dans le monde professionnel et faire découvrir au public la création artistique contemporaine innovante.
La programmation du festival s’articule autour d’une sélection d’artistes, d’invités, de projets spéciaux.
En 2015, 44 photographes ont présenté leurs travaux sous forme d’expositions, de projections, d’installations…
Des workshops, rencontres-débats, lectures de portfolios ont également jalonné le festival.

Little Salon

Pendant plusieurs années la collection de La Maison Européenne de la Photographie à Paris s’est enrichie d’oeuvres d’artistes japonais produites à partir de la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Ceci en grande partie grâce aux dons faits par la société japonaise Dai Nippon Printing.

Dans une période de transformation et de restructuration face à la devastation de la guerre, la photographie d’avant garde des années 60-70 du groupe Provoke, notamment avec l’oeuvre de Daido Moriyama invente face aux changements sociaux et politiques une nouvelle écriture visuelle.
Soixante dix ans après les bombardements de Nagasaki et d’Hiroshima, cette exposition présente des images puissantes et bouleversantes de Shomei Tomatsu de la série “Nagasaki” illustrant cette période sombre de l’Histoire.
Des images insolites de Shoji Ueda aux saisissants portraits de Keiichi Tahara en passant par Ihei Kimura, Ikko Narahara et Hiro, les plus grands noms de la création photographique japonaise sont représentés dans cette exposition qui témoigne de l’importante contribution du Japon dans l’histoire de la photographie du 20e siècle.
La donation Dai Nippon Printing Co.

De 1994 à 2006, sous l’impulsion de son président Monsieur Yoshitoshi Kitajima, la grande société japonaise d’impression Dai Nippon Printing Co., fondée en 1876, a constitué pour la Maison Européenne de la Photographie, une importante collection de photographies japonaises.
Constituée aujourd’hui de 540 oeuvres provenant des plus grands photographes de l’après-guerre, cette “collection dans la collection” révèle la place essentielle prise par les photographes japonais dans l’histoire de la photographie mondiale.
Parmi eux :
Nobuyoshi Araki, Masahisa Fukase, Seiichi Furuya, Naoya Hatakeyama, Hiro, Eikoh Hosoe, Yasuhiro Ishimoto, Miyako Ishiuchi, Ihei Kimura, Taiji Matsue, Ryuji Miyamoto, Yasumasa Morimura, Daido Moriyama, Ikko Narahara, Toshio Shibata, Hiroshi Sugimoto, Keiichi Tahara, Shomei Tomatsu, Hiromi Tsuchida, Shoji Ueda, Hiroshi Yamazaki.
Masahisa Fukase

Hokkaido (Japon) 1934 – 2012 Tokyo.
Né dans l’île de Hokkaido dans une famille de photographes de studio, il entre à l’âge de dix-huit ans à l’université Nihon qui est l’une des premières au Japon à proposer un cursus de photographie artistique. En 1956, il entre comme photographe dans une agence de publicité. Quelques années plus tard, parallèlement à son activité professionnelle, il commence à publier et exposer des photographies de reportage, comme « Tuez les porcs ! » (Buta wo korose !) en 1961. Après un passage en 1967-1968 comme directeur de la photographie aux éditions Kawade, il poursuit son activité en free-lance. En 1971, il publie son premier album de photographies.
Son style intimiste, froid au niveau des compositions, mais très riche au niveau de la texture, l’impose comme l’un des principaux photographes de sa génération. Entre 1974 et 1976, il collabore avec Araki Nobuyoshi, Tomatsu Shomei, Hosoe Eiko et Moriyama Daido à l’école de photographie Workshop, un des hauts lieux de la création artistique japonaise des années 1970. En 1992, il subit un grave accident vasculaire cérébral et il est maintenu en soins intensifs jusqu’à sa mort en 2012.
Ses tirages et ses albums comptent parmi les plus chers sur le marché de la photographie japonaise contemporaine.
Naoya Hatakeyama

Iwate (Japon), 1958. Vit à Tokyo.
L’oeuvre de Naoya Hatakeyama s’intéresse de manière sérielle à la ville et à sa relation avec son environnement. La série « River » est constitué autour de nombreux cours d’eau qui traversent Tokyo. La ville a été construite sur une zone fluviale proche de la mer et repose sur un réseau dense de multiples rivières devenues quasi invisibles tant l’urbanisme a envahi de façon tentaculaire l’ensemble de la cité. En pénétrant le lit de ses rivières, Hatakeyama nous montre l’emprise et la complète domination de la nature par l’homme mais, jouant de la lumière à différentes heures du jour et de la nuit, il en révèle une magie insoupçonnée.
Hiro

Shanghai (Chine)1930. Vit à New York.
Hiro (Yasuhiro Wakabayashi) arrive à New York en 1954 pour étudier la photographie. Il travaille brièvement avec Richard Avedon, qui le juge trop talentueux pour n’être qu’assistant et le présente à Alexey Brodovitch, directeur artistique de la revue Harper’s Bazaar.
Hiro excelle dans tous les domaine : portrait, publicité, mode, nature morte… Féru de nouvelles technologies, fasciné par la conquête spatiale, il crée pour le magazine des images d’inspiration futuriste aux couleurs vite saturées. En 1962, de retour pour la première fois au Japon, il réalise un polyptyque dans le métro de Tokyo qui donne à voir une sombre version de la modernité, avec des hommes pris au piège de leurs propres progrès techniques.
En 2000, la MEP a consacré à Hiro une importante rétrospective, représentative de son travail réalisé entre 1955 et 1994. A cette occasion, l’artiste a fait don à la collection de 5 tirages, et la société Dai Nippon Printing Co. a offert la série Betta Splendens. En 2008, la Fondation Elsa Peretti a offert à la MEP 84 tirages, reconstituant ainsi la totalité de l’exposition.
Yasuhiro Ishimoto

né le 14 juin 1921 et mort le 6 février 2012 Né aux Etats-Unis, Yasuhiro Ishimoto arrive au Japon à l’âge de 3 ans. Il y passera son enfance avant de revenir aux Etats-Unis, en 1939, pour échapper à la conscription après la guerre avec la Manchourie.
De 1942 à 1944, il est cependant interné au camp d’Amache dans le Colorado, où ont été regroupés les américains d’origine japonaise pendant la Seconde Guerre mondiale. C’est là qu’il s’initie à la photographie au contact d’autres prisonniers.
Après la guerre, il entreprend des études d’architecture à Chicago, puis intègre en 1948 le Chicago Institute of Design, initialement fondé sous le nom de New Bauhaus par László Moholy-Nagy.
Il y étudiera 4 ans sous l’enseignement d’Harry Callahan et Aaron Siskind.
Il retourne au Japon en 1953 et devient citoyen japonais en 1969.
Ishimoto a publié Chicago Chicago, aux éditions Bijutsu Shuppan-sha à Tokyo en 1969, ouvrage qui témoigne de l’influence de ses maîtres américains, mais il réalisera par la suite des séries essentielles sur les villes de Tokyo et Kyoto. Pétri de ses deux cultures, l’ensemble de son oeuvre est un jalon essentiel entre les photographies japonaise et américaine de l’après-guerre.
Ihei Kimura

12 décembre 19 01 à Tokyo - 30 mai 1974
L’un des photographes japonais les plus célèbres du 20e siècle, particulièrement connu pour ses représentations de Tokyo et de la préfecture d’Akita.
Kimura est l’un des fondateurs de l’agence Nippon-Kobo.
Né le 12 décembre 1901 à Shitaya-ku (arrondissement Taito-ku de Tokyo), Kimura commence à prendre des photos très jeune mais son intérêt s’intensifie quand il a environ 20 ans et vit à Tainan (Taiwan), où il travaille pour un grossiste de sucre. Il ouvre un studio photographique à Nippori, Tokyo en 1924. En 1930, il rejoint le département de publicité de l’entreprise de cosmétiques et de savon Kao et se concentre sur des photographies informelles réalisées avec son appareil Leica. En 1933, il rejoint Yonosuke Natori et d’autres professionnels pour former le groupe Nippon Kobo (« Atelier du Japon ») qui met l’accent sur le « réalisme » en photographie et utilise des
appareils au format 35mm. Mais ce groupe se sépare assez raidement et Kimura forme un groupe alternatif, Chuo Kobo (« Atelier central ») avec Nobuo Ina et d’autres.
Durant la guerre, Kimura travaille en Mandchourie pour l’éditeur Toho-sha.
En 1950, Kimura est élu président de la Société des photographes professionnels du Japon nouvellement formée ; en compagnie de Ken Domon il fait beaucoup pour encourager un esprit documentaire dans la photographie amateur.
Au milieu des années cinquante, Kimura effectue plusieurs voyages en Europe et fournit des photos pour les magazines d’appareils photo. Pari, un recueil de ses photographies en couleurs de Paris, ne sera publié qu’en 1974, mais l’utilisation de la couleur était en avance sur son temps.
À son retour au Japon, Kimura se concentre sur la photographie de la vie rurale à Akita. Il travaille également sur des portraits, en particulier d’écrivains.
Kimura décède à son domicile à Nippori le 30 mai 1974 ; Le prix Ihei Kimura est décerné annuellement en son honneur depuis 1975. Il reste populaire au Japon : des échantillons de ses photographies (2009) paraissent régulièrement dans le magazine Asahi Camera.
Ryuji Miyamoto

Tokyo, 1947. Vit à Tokyo.
Pour Architectural Apocalypse (éditions Heibonsha Tokyo, 1988), Ryuji Miyamoto photographie des cités et des architectures modernes en
cours de démolition. Fasciné par le spectacle de la destruction, il réalise également un important travail sur le tremblement de terre de Kobé en 1995. Sa série Satyam s’affranchit du spectaculaire : les bâtiments, sobres, ressemblent à des conteneurs géants posés au pied du mont Fuji, dans la préfecture de Yamanashi. Le terme satyam désigne les nombreux édifices bâtis par Aum Shinrikyo, la secte qui projetait de semer le chaos pour s’emparer du pouvoir, et dont les activités criminelles ont été stoppées net après l’attentat dans le métro de Tokyo en 1995. Marqué comme beaucoup d’artistes de sa génération par la tragédie nucléaire de 1945, Miyamoto nous rappelle la précarité de toute construction humaine l’inéluctabilité de la destruction et la folie des hommes.
En 1999, la société Dai Nippon Printing Co. a fait don à la MEP de 35 tirages de l’artiste.
Yasumasa Morimura

Né à Osaka en 1951, il a obtenu son baccalauréat en beaux-arts en 1978 à la cité universitaire des Arts de Kyoto. Depuis 1985, Morimura a présenté des expositions personnelles à travers le monde et également des expositions de groupe. Dans son oeuvre, Morimura utilise les portraits d’artistes anciens, d’Edouard Manet, de Rembrandt à Cindy Sherman, en utilsant son propre corps et son visage dans ces images. En 1985, il a présenté également une grande image colorée de Van Gogh avec son corps et son visage insérés. Depuis cette période, l’auto-portrait est devenu le thème principal de ses travaux. Il a fait de nombreuses expositions dans des musées importants en France, aux Etats-Unis (Chicago), en Californie, au Japon et en Australie.
En 1998, Morimura a été selectionné en tant qu’artiste d’Aperto à la Biennale de Venise, le catapultant sur la scène internationale d’art.
Morimura se transforme en des sujets familiers avec l’utilisation de costumes, d’accessoires, la manipulation numérique, et le maquillage. Ses chefs-d’oeuvre comprennent des oeuvres inspirées par des peintures d’influents artistes comme Diego Velásquez et Frida Kahlo et également par des sources pictographiques des médias et de l’histoire.
Le travail de Morimura est particulièrement efficace et énergique en raison de sa capacité à la fois de moquer et de rendre hommage à ses matériaux de référence et à ses sujets. L’artiste a réalisé une série d’auto-portraits suivant l’art et le style de Frida Kahlo dans sa dernière et très coûteuse production.
En 1996, Morimura a été nominé au Prix Hugo Boss. Ses oeuvres se trouvent dans des musées publics tels le Musée d’Art Honolulu à Hawaï, le Carnegie Museum of Art à Pittsburgh, le Musée d’art contemporain de Chicago, le J. Paul Getty Museum de Los Angeles, San Francisco Museum of Modern Art en Californie, le Whitney Museum of American Art à New York, le Musée d’art contemporain de Los Angeles, ainsi que la Maison Européenne de la Photographie à Paris.
Daido Moriyama

Ikeda-cho (Japon), 1938. Vit à Tokyo.
Are-Bure-Boke, « Bruit-Flou-Trouble », trois adjectif devenus une esthétique, celle dont s’empare la jeune garde de photographes japonais à la fin des années 1960. Daiso Moriyama en tête. Editée en 1968, sa première monographie, Japan : A photo Theater, fait scandale : il y dresse le portrait sans concession de marginaux, de strip-teaseurs, de comédiens ambulants et d’autres performeurs.
Ce premier coup d’éclat signe l’urgence d’être au monde de ce maniaque du noir et blanc au grain appuyé, influencé tant par William Klein que Jack Kerouac, et qui a publié 200 ouvrages en près de 50 ans. Ses instantanés saturés et bruyants radiographient le chaos urbain, traquent le monde interlope : loup solitaire ou chien errant, il saisit la face sombre des villes, comme dans son quartier tokyoïte d’élection, Shinjuku, dont il ne se lasse pas d’écumer les bars.
En 1995,la Société Dai Nippon Printing Co. a fait don à la MEP de 51 tirages de Daido Moriyama.
Ikko Narahara

Fukuoka (Japon), 1931. VIt à Tokyo
En 1954, alors qu’il étudie l’histoire de l’art, Narahara découvre, à 17 kilomètres de Nagasaki, Hashima, une très belle île minière en partie artificielle où travaillent et sont logés deux mille ouvriers et leurs familles. Fasciné par cette population recluse au beau milieu de la mer, Narahara entreprend son premier travail photographique. Ses travaux suivants le mènent dans des lieux d’enfermement créés par l’homme - un monastère, puis une prison pour femmes – où il fait l’expérience du temps et de l’espace, des thèmes récurrents dans l’ensemble de son oeuvre.
La MEP posède 15 tirages de Ikko Narahara, offerts en 1996 par la société Dai Nippon Printing Co., à quoi s’joutent 120 tirages offerts par l’artiste à la suite de l’exposition et de la publication de Ikko Narahara (MEP, 2002).
Un demi-siècle de photographie japonaise 4
Keiichi Tahara

Kyoto (Japon) 1951. Vit à Tokyo
Dès son installation en France en 1972, Keiichi Tahara est fasciné par la lumière violente et sombre du ciel parisien, très différente de la douce et brumeuse luminosité de son enfance au Japon. En 1978, il commence à s’intéresser au portrait. Sans idées préconçues, et bien que d’un tempérament très réservé, il photographie jusqu’en 1988 une centaine de personnalités du monde des arts et de la culture. La rencontre a lieu au domicile du modèle ou dans son environnement qui lui est familier.
Chaque fois, la lumière guide Tahara à travers l’espace où il joue des ouvertures, des fenêtres, des ombres. « Il est impossible de montrer en une seule photographie le visage ou le caractère de quelqu’un » confie-t-il. La série est construite en diptyque : d’abord un plan large où le modèle se met lui-même en scène comme au théâtre, puis il s’intéresse au visage, scrutant le regard grave de ses modèles.
En 2001, la société Dai Nippon Printing Co. a fait don à la MEP de la totalité de la série Visagéité.
Shomei Tomatsu

Sakaiminato (Japon), 1913 – Yonago (Japon), 2000
Une montre sur un coussin de satin de soie blanche, figée à l’heure exacte de l’explosion atomique sur Nagasaki : 1h02, le 9 août 1945. A l’instant précis de l’explosion, le temps s’est définitivement arrêté. Seize ans plus tard, Shomei Tomatsu photographie les objets déformés ou fondus par le souffle de l’explosion, les ruines, les visages défigurés des survivants, des scène quotidiennes dans une cité qui essaie de revivre. Son livre 11.02 Nagasaki est publié en 1966 à Tokyo, accompagné de témoignages des survivants.
Les 40 tirages de al série Nagasaki ont été offerts à la MEP en 1994 par la société Dai Nippon Printing Co.
Un demi-siècle de photographie japonaise 2
Shoji Ueda

Sakaiminato (Japon), 1913 – Yonago (Japon), 2000
Il y a un peu de Magritte dans ces images du maître Shoji Ueda. Prise dans le décor surréaliste des dunes de Tottori – sa province natale, à 800km au sudouest du bouillonnement tokyoïte -, elles font partie d’une série fleuve réalisée entre 1949 et 1980. Face à la mer, avec du sable à perte de vue, Shoji Ueda est chez lui : dans ce théâtre onirique, il ne se lasse pas de mettre en scène ses voisins et ses proches
dans des images minimalistes, minutieusement chorégraphiées, empreintes d’humour et d’une candeur toute poétique. En inconditionnel de
Lartigue, il chronique les plaisirs simples avec l’humilité de l’éternel amateur.
En 2005, la société Dai Nippon Printing Co. a fait don à la MEP de 13 tirages de Shoji Ueda, et la succession Ueda lui a offert en 2007 le portfolio Ueda Shoji : Children Calendar. La MEP a consacré au photographe une rétrospective en 2008, sous le titre Une ligne subtile.
Un demi-siècle de photographie japonaise 3
Kimiko Yoshida

Née en 1963 dans la capitale nippone, Kimiko Yoshida est marquée dès son plus jeune âge. A peine âgée de trois ans, sa mère décide de la mettre à la porte. Ne transportant avec elle que son coffret contenant ses trésors, la petite fille se réfugie dans un parc public où la police ne la retrouve que le lendemain. Depuis ce jour, Kimiko est devenue plus vagabonde, ce qui inspire fortement ses oeuvres.
C’est en 1986, que la jeune femme amorce son parcours de photographe en obtenant son diplôme d’art à l’université de Chuo, à Tokyo. Neuf ans plus tard, après une brève carrière de styliste, Kimiko intègre le collège de photographie de la capitale.
Mais en 1996, la photographe s’envole pour la France où elle intègre l’école nationale supérieure de photographie d Arles puis le Fresnoy-Studio national des arts contemporains en 1999. Depuis, Kimiko Yoshida vit à Paris et expose dans les plus grandes galeries du monde : Bachelor of Arts, Faculty of Literature, Chuo University,Tokyo, Japan (1986), Tokyo College of Photography, Japan (1995), École nationale supérieure de la photographie, Arles, France (1996), Studio national des arts contemporains, Le Fresnoy, France (1999).
En 2003, dans « Marry me », elle se représente en mariée pour retrouver les jeux de son enfance où elle inventait des robes de mariées pour ses poupées. En 2006, elle s’inspire de parures africaines.
En 2009, elle entreprend une série d’autoportraits inspirée par les autoportraits ou les portraits de grands maîtres de la peinture. En 2010 elle expose à la Maison européenne de la Photographie, Paris avec « Là où je ne suis pas » et à la Galerie Tanit, Munich. En 2015 elle a exposé au festival Kyotographie au Japon.


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Le Salon de la Photo,
partenaire du Mois de la Photo
le mois de la photo à paris 2015
La grande exposition : Une Amitié argentique
Gianni Berengo Gardin

Gianni Berengo Gardin et Elliott Erwitt : regards croisés de deux maîtres du noir et blanc.

Exposition de photographies de 1950 à 2014
Commissariats : Alessandra Mauro et pour le Salon de la Photo, Simon Edwards.

Cette exposition qui rassemble 120 photographies, est présentée avec la collaboration de la Fondation Forma (Milan).

Une amitié argentique ou comment deux grands photographes à l’époque de l’argentique, avec des cultures différentes partagent, à travers le noir et blanc, la même relation à la réalité et le même amour de la vie. Cette exposition met pour la première fois face à face les images de ces deux grands interprètes, Gianni Berengo Gardin et Elliott Erwitt, les faisant dialoguer l’un avec l’autre lors d’un parcours croisé de styles, donnant un sens à notre temps, à notre histoire, avec le regard engagé et intense des photojournalistes : un lien fort, tout comme l’amitié.

C’est une amitié fervente qui lie depuis toujours Gianni Berengo Gardin et Elliott Erwitt. L’Italie est leur terre de ralliement. Gianni, y est né, Elliott, y résida enfant avant de partir à New York avec ses parents. Ils se retrouvent régulièrement à Milan où une partie de la famille d’Elliott habite encore, pour y fêter leurs anniversaires et réaliser des portraits l’un de l’autre. Pour Gianni Berengo Gardin, Elliott Erwitt, l’aîné de seulement deux années, est un mythe. La photo d’Elliott Erwitt de sa femme allongée sur un lit avec son chat et son bébé exposée dans The Family of Man au MOMA en 1955, était ce qu’il aurait voulu faire. Tout jeune, alors qu’il était encore photographe amateur Gianni voyait en cette photographie, la perfection.

Mais c’est en 1996, lorsque Elliott Erwitt présente, à Vérone, son exposition 100 + 1 que leur amitié se concrétise. Quand Gianni a eu son exposition à la Leica Gallery (1999), à New York, c’est Elliott qui est venu à sa place pour le vernissage car Gianni ne pouvait pas voyager. De même quand il a gagné le Lucie Award en 2008, c’est Elliott qui a reçu le prix pour lui en son absence. Ils travaillent et voyagent souvent ensemble pour le plaisir, notamment lors d’un reportage à quatre mains en Toscane, dans les caves de marbre de Carrare et à Borgo San Sepolcro. Leur amitié est discrète et fidèle. Ils ont la même tendresse, la même curiosité, la même timidité face à la réalité. Dans leur amitié, l’appareil photo est le complice parfait.
Gianni Berengo Gardin

« Aujourd’hui je suis convaincu qu’une photographie peut changer l’état d’âme de la personne qui la regarde, mais elle ne peut pas changer les choses »

Gianni Berengo Gardin est né en 1930 à Santa Margherita Ligure près de Gênes. Le Paris des années cinquante est le lieu de son apprentissage photographique. En1954, il débute la photographie puis se tourne vers le photojournalisme et travaille pour la revue Il Mondo en Italie mais aussi pour la presse internationale : Domus, Epoca, L’Express, Time, Stern et Le Figaro. Son oeil aiguisé et son regard multiple font de lui un photographe du monde et de ses réalités, de la vie quotidienne, des paysages mais
aussi d’architecture. Sa photographie est caractérisée par un humanisme intense empreint d’ironie. Son respect envers la réalité font de lui l’un des chroniqueurs les plus originaux de la société contemporaine. Reporter et chroniqueur, il a su saisir avec subtilité, les hôpitaux psychiatriques, le mouvement de 1968, les tziganes – et ses longs reportages sur le travail, la vie quotidienne, les femmes, la province italienne. Il a acquis un statut international. Son travail a fait l’objet de centaines d’expositions, une célébration de sa créativité et de sa plastique, le MoMA ou encore le Guggenheim à New York, à la George Eastman House de Rochester, le Musée de l‘Élysée à Lausanne… les Rencontres d’Arles lui consacrent une rétrospective en 1987. Il a publié plus de 250 ouvrages, remporté le prix Oskar Barnack en 1994 et le Lucie Award en 2008.
Elliott Erwitt
Elliott Erwitt

« Faire rire est sans doute l’une des plus grandes récompenses que l’on puisse obtenir. Faire rire ou pleurer comme Chaplin savait si bien le faire. Je ne sais pas si c’est cela est mon objectif, mais je considère que c’est le but suprême ».

Elliott Erwitt est né en 1928 à Paris de parents immigrés russes. Il a grandi en Italie et en France. Sa famille émigre aux États-Unis en 1939, s’installant d’abord à New York puis à Los Angeles. Conscrit dans l’armée des États-Unis en 1951, il photographie pour plusieurs publications au New Jersey, en Allemagne et en France. Avant son service militaire, il rencontre à New York, Edward Steichen, Robert Capa et Roy Stryker qui apprécient ses photographies. En 1953, fraîchement démobilisé, Elliott Erwitt, parrainé par Robert Capa, devient membre de l’agence Magnum Photos. Il a travaillé pour la revue Life et participé à la célèbre exposition The Family of Man au Musée d’Art Moderne de New York, en 1955, et depuis plus de cinquante ans, ses livres, ses reportages photographiques, ses illustrations et ses publicités apparaissent dans des publications du monde entier.

De grandes expositions ont présenté son travail, au Musée d’Art Moderne de New York, à l’Institut d’Art de Chicago, à l’Institut Smithsonian de Washington D.C., au Musée Reina Sofia de Madrid, au Barbican de Londres, au Spazio Oberdan de Milan, à la Maison Européenne de la photographie de Paris ainsi qu’au Museo di Roma à Rome, où il a revisité cinquante années de l’histoire romaine. Il a remporté, entre outre, la médaille du centenaire de la Royal Photographic Society et le Lucie Award en 2007.

Crédits photos : © Gianni Berengo Gardin/ Courtesy Fondazione Forma per la Fotografia & © Elliott Erwitt/ Magnum Photos



Gianni Berengo Gardin
Gianni Berengo Gardin est né en 1930 à Santa Margherita Ligure près de Gênes. Le Paris des années cinquante est le lieu de son apprentissage photographique. En1954, il débute la photographie puis se tourne vers le photojournalisme et travaille pour la revue Il Mondo en Italie mais aussi pour la presse internationale : Domus, Epoca, L’Express, Time, Stern et Le Figaro. Son oeil aiguisé et son regard multiple font de lui un photographe du monde et de ses réalités, de la vie quotidienne, des paysages mais aussi d’architecture.
Sa photographie est caractérisée par un humanisme intense empreint d’ironie. Son respect envers la réalité font de lui l’un des chroniqueurs les plus originaux de la société contemporaine.
Reporter et chroniqueur, il a su saisir avec subtilité, les hôpitaux psychiatriques, le mouvement de 1968, les tziganes – et ses longs reportages sur le travail, la vie quotidienne, les femmes, la province italienne.
Il a acquis un statut international. Son travail a fait l’objet de centaines d’expositions, une célébration de sa créativité et de sa plastique, le MoMA ou encore le Guggenheim à New York, à la George Eastman House de Rochester, le Musée de l‘Élysée à Lausanne… les Rencontres d’Arles lui consacrent une rétrospective en 1987. Il a publié plus de 250 ouvrages, remporté le prix Oskar Barnack en 1994 et le Lucie Award en 2008.

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Retrouvez Gianni BERENGO GARDIN le jeudi 5 novembre 2015 à 14h aux Grandes Rencontres du Salon de la Photo 2015


Bruno BARBEY
Né au Maroc, il étudie la photographie et les arts graphiques à l’Ecole des Arts et Métiers de Vevey en Suisse. De 1961 à 1964, il photographie les italiens comme des protagonistes d’un « petit monde théâtral », mettant en scène l’esprit d’une nation.
Au cours de cette décennie, il réalise des reportages sur différents pays européens et africains pour les Editions Rencontre à Lausanne. Il contribue également régulièrement au magazine Vogue. En 1964, il commence sa collaboration avec Magnum Photos. Il en est membre associé en 1966 et membre à part entière en 1968. Cette même année, il documente les turbulences politiques en France et les révoltes estudiantines à Paris. Entre 1979 et 1981, il photographie la Pologne à un tournant de son histoire, un livre est édité et remporte un vif succès. Pendant plus de quarante ans, Bruno Barbey a voyagé à travers les cinq continents et a été témoin de nombreux conflits mondiaux et a couvert les guerres civiles au Nigeria, au Vietnam, au Moyen Orient, au Bangladesh, au Cambodge, en Irlande, en Irak et au Koweït.
Son travail a été publié dans la plupart des principaux magazines mondiaux. Auteur prolifique qui s’expose et s’exprime souvent sous forme de livres, Bruno Barbey est surtout connu pour son utilisation libre et harmonieuse de la couleur, et il a souvent travaillé au Maroc, le pays de son enfance. Il a reçu de nombreux prix pour son travail, dont l’Ordre National du Mérite, le Oversees Press Club Award et le University of Missouri Photojournalism Award. Ses photographies ont été exposées dans le monde entier et font partie des collections de nombreux musées. Il est le président des ZOOMS 2015.

En savoir plus :  www.brunobarbey.com

Retrouvez Bruno BARBEY le jeudi 5 novembre 2015 à 16h aux Grandes Rencontres du Salon de la Photo 2015

Bettina Rheims
Bettina Rheims est née le 18 décembre 1952 à Neuilly-sur-Seine. Elle est la fille de Maurice Rheims, commissaire-priseur et académicien. Après avoir été mannequin, galeriste, son premier mari : Serge Bramly : romancier, scénariste et photographe lui offre un Rolleiflex. Cet appareil photo la révèle à elle-même.
Cette artiste photographe française à la renommée internationale se passionne pour la peau et sa vérité ainsi que pour les êtres en quête de métamorphose. Possédant un sens de la couleur, une vision intime et personnelle du corps féminin, elle a su développer un univers sensible où elle explore les différences facettes de l’âme humaine. En 1978, elle commence à photographier des gens dans la rue. Bettina
Rheims se fera connaître par la publication de photos de nus dans un magazine Égoïste en 1980. Cela donnera naissance à deux expositions en 1981 l’une à Beaubourg et l’autre à la galerie Texbraun à Paris. Parallèlement, elle reçoit des commandes de portraits pour des magazines internationaux, elle crée des pochettes de disques, réalise des photos de mode. Son travail sur le corps féminin sera livré dans un livre Female trouble en 1989 et donnera lieu à des expositions en Allemagne et au Japon. Elle entame alors une autre série de photos Modern Lovers où elle capte l’ambigüité de ses modèles. La série étonnante et mythique Chambre close en 1991 marque le début de sa collaboration avec Serge Bramly. Puis la consécration avec INRI une série de photos retraçant la vie de Jésus à l’époque actuelle. S’en suivront de violentes polémiques. En 2010, elle a présenté à la BnF Paris un portrait amoureux décalé et saisissant de la capitale sous le nom de Rose c’est Paris.
Exposée en 2012 à Düsseldorf, la série Gender Studies poursuit le questionnement sur les représentations du genre. Le dispositif liant image et son (par Frédéric Sanchez) présente 27 portraits sonores de jeunes hommes et femmes ayant répondu à une appel lancé par la photographe sur Facebook. Les clichés s’accompagnent d’extraits d’interview et font l’objet de plusieurs expositions et d’un livre.
Grande artiste à l’oeil photographique acéré, Bettina Rheims fut Lauréate du Grand Prix de la photographie de la ville de Paris. En 1995, c’est elle qui réalise le portrait officiel du président de la République : Jacques Chirac. Et en 2002, elle fut promue au titre du Chevalier de la Légion d’Honneur pour l’ensemble de son travail.



En savoir plus :  www.bettinarheims.com

Retrouvez Bettina RHEIMS le jeudi 5 novembre 2015 à 18h aux Grandes Rencontres du Salon de la Photo 2015


Stéphane LAVOUÉ
Stéphane Lavoué est né à Mulhouse en 1976. Photographe reporter portraitiste, diplômé de l’Ecole Supérieure du Bois en 1998, il part vivre deux ans en Amazonie brésilienne (à Belém puis Santarém), chargé des achats de bois pour un groupe industriel français. De retour en France en 2001, il s’installe à Paris et abandonne le bois pour la photo, il travaille pour la presse française et étrangère, d’abord à Libération comme reporter, puis à partir de 2001 il se spécialise comme portraitiste réputé pour des journaux français (Le Monde, Le Figaro, l’Équipe, …) ou étrangers (New York Times, The Times). En 2015, il se lance dans des projets plus personnels avec l’exposition The Northeast Kingdom et une commande du Conseil général du Morbihan Nourrir la planète exposée au festival de La Gacilly. Il vit et travaille à Paris.

En savoir plus :  www.stephanelavoue.fr

Retrouvez Stéphane LAVOUÉ le vendredi 6 novembre 2015 à 12h aux Grandes Rencontres du Salon de la Photo 2015


Leïla ALAOUI
Photographe et vidéaste franco-marocaine née en 1982, Leïla Alaoui a étudié la photographie à l’université de la ville de New-York. Son travail explore la construction d’identité, les diversités culturelles et la migration dans l’espace méditerranéen. Elle utilise la photographie et l’art vidéo pour exprimer des réalités sociales à travers un langage visuel qui se situe aux limites du documentaire et des arts plastiques.
Son travail est exposé internationalement depuis 2009 (Art Dubai, l’Institut du Monde Arabe et prochainement à la Maison Européenne de la Photographie à Paris) et ses photographies publiées dans de nombreux journaux et magazines, y compris le New York Times. Elle vit et travaille aujourd’hui entre Marrakech et Beyrouth.
(Source : http://www.leilaalaoui.com/#!bio-fr/c1agk)

En savoir plus :  www.leilaalaoui.com

Retrouvez Leïla ALAOUI le vendredi 6 novembre 2015 à 14h aux Grandes Rencontres du Salon de la Photo 2015

Laurent MONLAÜ
Laurent Monlaü aborde la photographie en 1977 avec un reportage à Londres «Portraits Punks». De nombreux voyages l’amènent à photographier au Mexique, aux Etats- Unis, ainsi qu’en Afrique du Nord. Il s’intéresse à l’art du portrait dans les années 80, notamment dans le domaine du théâtre et du cinéma, et il assure la création visuelle de diverses revues culturelles. Depuis le début des années 90, il décline son style par l’usage de la couleur, une interprétation baroque du réel. Membre de l’agence Rapho pendant 16 ans il est représenté depuis 2007 par Interlinks image. Il publie régulièrement dans la presse magazine en France et à l’étranger. Ses projets personnels sont largement publiés et exposés (Festivals Visa pour l’Image, Chroniques Nomades, Terres d’Images entre autres). Sa série de portraits « Maures » (1er prix au World Press Photo 96) fait l’objet de son premier livre « Maures » (Editions Marval 1998).
Il entreprend en 1998 une longue traversée de l’Afrique de Dakhla au Sahara Occidental, jusqu’à Dakhla en Egypte, « Le voyage en Afrique » (éditions Marval 2002). En 2002 au Brésil dans la baie de Bahia de Tous les Saints, il réalise également un projet « Eden » avec un film et une série d’images sur le nordeste Brésilien à travers les yeux d’une femme. Puis en 2003 il expose au printemps de septembre à Toulouse « A 380 » une série de diptyques au Musée des Augustins, un travail de commande sur la construction de l’avion d’Airbus. Depuis il a entamé un long récit documentaire sur le « backstage » de Las Vegas, un portrait de l’Amérique au travers de la ville néon présenté à l’Espace Dupon à en janvier 2009. Actuellement Laurent Monlaü effectue un travail sur la forêt à travers le monde, dont la première partie est exposée à la biennale internationale de l’image à Luang Prabang au Laos sous l’égide de culture France et à la galerie Fréderic Moisan, Paris. Il est le co-fondateur du collectif VENDREDI, auteurs associés.

En savoir plus :  www.laurentmonlau.fr

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Eric BOUVET
Eric Bouvet (né en 1961) a commencé sa carrière photographique en 1981 après avoir étudié les arts et industries graphiques à l’Ecole Estienne (75013). Son intérêt pour la photographie a peut-être été déclenché lorsque, à l’âge de 8 ans, il a regardé en direct les premiers pas de l’homme sur la lune. L’impact du direct, l’importance de l’image et la force du moment historique seront les principaux facteurs de motivation pour couvrir des événements dans plus de 120 pays durant ces trente-deux dernières années.
Eric Bouvet a travaillé comme photographe staffeur de l’agence Gamma durant la décennie 1980. Il est indépendant depuis 1990.
Il a gagné une reconnaissance internationale en 1985 avec le reportage de l’éruption volcanique à Arméro, en Colombie.
Les conflits en Irak, Iran, Liban, Soudan, Somalie, ex-Yougoslavie, Israël, Irlande du Nord, Kurdistan, Angola, Suriname, Rwanda, Libye ainsi que deux pays dans lesquels il s’est investi une douzaine de fois : la Tchechenie et l’Afghanistan. Il a couvert les grands événements internationaux, dont les funérailles de l’ayatollah Khomeiny en Iran, la révolution Chinoise de la place Tienanmen, la chute du mur de Berlin, la révolution de velours à Prague, la libération de Nelson Mandela, les jeux olympiques et les révolutions Arabes.

Il a également travaillé sur de nombreux sujets « société » : les prisons russes, les jeunes marins sur le porte-avions, la police en banlieue parisienne, les derniers mineurs de charbon de France, la vie dans un service pédiatrique pour enfants atteints de cancer. Ces trois dernières années, il effectue un travail de fond documentaire sur deux grands sujets intitulés Sexe,Love… et Peace.
Son travail a été publié dans de nombreux magazines internationaux, dont Time, Life, Newsweek, Paris-Match, Stern, le Sunday Times Magazine, le New York Times Magazine, Der Spiegel, Le Monde. Il a également mené des campagnes photographiques pour les Nations Unis ainsi que diverses ONG et organisations caritatives dont Médecins Sans Frontières (MSF), la Croix-Rouge internationale (CICR), Médecins du Monde (MDM) et Action Contre la Faim (ACF).
Depuis douze ans, il anime des stages sur la photographie. A raison d’une dizaine chaque année, près de 400 personnes ont assisté à sa formation. Eric Bouvet a reçu cinq prix World Press, deux Visa d’Or, le Prix Bayeux des correspondants de guerre, le Prix du public de Bayeux, le Prix Paris-Match et la médaille d’or du 150e anniversaire de la Photographie.

En savoir plus :  www.ericbouvet.com

Retrouvez Eric BOUVET le vendredi 6 novembre 2015 à 18h aux Grandes Rencontres du Salon de la Photo 2015

Guillaume HERBAUT
Guillaume Herbaut, born in 1970, was a founding member of l’Oeil Public. Prize-winner of the Fondation de France in 1999, he has dedicated himself for some years now to historical places, filled with symbols and memory. His work called Tchernobylsty, won the Kodak Critics Prize in 2001 and was published at Le Petit Camarguais in October 2003. Herbaut also won the Fuji Book Prize the following year. Herbaut has been a recipient of a grant from the French Ministry of Culture and 3P. Visa pour l’Image exposed his work in September 2004. The same year Herbaut was winner of the Lucien Hervé Prize. In 2009 he won the second price « contemporary issue » at the World Press Photo. Today he carries on with the aim of revealing unseen tragedies.Herbaut’s work has been exhibited in solo or part of group shows at the Jeu de Paume Museum in Paris, at “la maison Rouge”, at Foto España and at the silverstein gallery in NY. Guillaume Herbaut has produced documentaries for French Radio and been a teacher and mentor in workshops in Russia, Spain, Switzerland and France. He is represented by INSTITUTE

En savoir plus :  www.guillaume-herbaut.com

Retrouvez Guillaume HERBAUT le samedi 7 novembre 2015 à 12h aux Grandes Rencontres du Salon de la Photo 2015


Xavier LAMBOURS
Xavier Lambours vit et travaille à Paris. En 1975, il fête ses 20 ans au sein de l’agence Viva. Il fait ses armes au journal Hara Kiri, sept années consacrées au portrait, au roman-photo. Il couvre son premier festival de Cannes en 1983 pour Libération et publie l’ouvrage, Ciné-monde avec les Cahiers du cinéma. En 1987, le FRAC Limousin lui passe une commande qui aboutira à la publication de Figures du Limousin, éditions Herscher. Il co-fonde l’agence Métis en 1989. Xavier Lambours est lauréat de la villa Kujoyama de Kyoto en 1992 et mène un travail sur le pouvoir au Japon, couronné par le prix Niépce Gens d’images, exposé au Centre national de la photographie en 1994 et publié chez Marval en 1995. Suivent : Le Rungis de Lambours, éditions du Bottin Gourmand en 1998 ; Rebonds, éditions Louis Vuitton ; Vélolavie, éditions Filipacchi en 2004. Il expose Lambours toujours dans lors du Mois de la photo 2006 et Xelles dans le même cadre en 2008. Cinéma est publié par les éditions Intervalles en 2007. La Maison européenne de la photographie consacre une exposition à son parcours en 2011, une livre XL, éditions Vue de l’esprit, est publié à cette occasion.
Xavier Lambours est membre de Signatures, maison de photographes depuis sa création. A l’occasion de la sortie du livre Dans le ventre de Hara-Kiri, aux Éditions de La Martinière, Xavier Lambours invite son coauteur Arnaud Baumann au Salon de la Photo pour parler leur expérience de photographe au sein de cette rédaction pas comme les autres.

En savoir plus :  http://xavierlambours.com

Retrouvez Xavier LAMBOURS le samedi 7 novembre 2015 à 14h aux Grandes Rencontres du Salon de la Photo 2015

Thomas DEVAUX
Né en 1980. Vit et travaille à Paris France.
Thomas Devaux est un photographe plasticien et l’auteur de plusieurs séries complexes où entrent en jeu tant les valeurs fondatrices que les évolutions actuelles de la photographie. En 2011, il remporte le prestigieux concours Bourse du Talent, la même année il est nommé au Prix Arte/Cutlog Art contemporain 2011. Son travail est ensuite exposé dans des galeries, des musées, et des foires d’art contemporain, dans de nombreux pays, dont la Corée du Sud, la Chine, les États-Unis, la France, la Belgique, la Russie ou Hong Kong. Plusieurs de ses photographies font partie de grandes collections dont celle de la BNF.
Dans sa série Attrition, Thomas Devaux interroge la photographie, sa valeur indicielle n’y est pas niée : il s’agit bien d’une prise de vue directe, mais une prise de vue envisagée d’emblée comme fragment d’une recomposition future. Dès lors, sa pratique découle de simples clichés d’événements comme des vernissages, qu’il utilise comme une simple matière première. Ils les mélangent et les transforment à l’extrême, pour créer des personnages irréels, des divinités inquiétantes, qui constitue sa propre mythologie.
Après Attrition, l’artiste développe maintenant un nouvel ensemble intitulé The Shoppers, plus proche du réel et néanmoins toujours baigné dans un état de grâce. Ces portraits sont ceux d’une population mixte, commune, prise à la caisse d’un supermarché, souvent le regard vide, la tête penchée. Ils ne sont photographiés qu’au moment où ils payent ce qu’ils doivent. L’image pauvre de ces personnes amendées à payer est ensuite décontextualisée, déconnectée de sa réalité par le traitement caractéristique en noir et blanc de Thomas Devaux, pour être à nouveau hissée au rang d’icone moderne.
Son travail photographique proche de la peinture et du dessin, lui permet de poursuivre sa recherche sur les thèmes du sacré et du profane, que l’on retrouve dès ses premiers travaux.

En savoir plus :  www.thomasdevaux.com

Retrouvez Thomas DEVAUX le samedi 7 novembre 2015 à 18h aux Grandes Rencontres du Salon de la Photo 2015


Roland et Sabrina MICHAUD
Roland Michaud est né en 1930 à Clermont-Ferrand. En 1956, Roland effectue son service militaire au Maroc où il se passionne pour la civilisation musulmane et où il rencontre Sabrina, née en 1938 à Rabat, qu’il épouse et qui va devenir sa précieuse collaboratrice.
De 1960 à 1962, Roland et Sabrina parcourent dans une 2 CV Citroën baptisée Zafric l’Afrique Orientale et l’Ethiopie. A la suite de ce voyage le prix Citroën leur est décerné pour la qualité de leur documentation photographique et ils publient leur premier reportage dans la presse. En 1977, les éditions du Chêne publient Caravanes de Tartarie dont le tirage atteindra 100 000 exemplaires. C’est pour le couple la consécration : vingt-trois ouvrages suivront. Depuis maintenant cinquante ans, Roland et Sabrina Michaud, couple de photographes devenu mythique, se consacre à l’étude de l’Asie et plus particulièrement aux civilisations de l’Islam, de l’Inde et de la Chine, toujours à la recherche de la compréhension des différentes cultures du monde. En octobre 2015 une grande monographie sera publiée aux éditions La Martinière : Voyageurs en quête de lumière.
Roland et Sabrina Michaud sont représentes par l’Agence A.K.G. de Paris.

Retrouvez Roland et Sabrina MICHAUD le dimanche 8 novembre 2015 à 12h aux Grandes Rencontres du Salon de la Photo 2015

Georges ROUSSE
Georges Rousse est né en 1947 à Paris où il vit et travaille.
Depuis le Noël de ses 9 ans où il reçut en cadeau le mythique Brownie Flash de Kodak, l’appareil photo ne l’a plus quitté. Alors qu’il est étudiant en médecine à Nice, il décide d’apprendre chez un professionnel les techniques de prise de vue et de tirage puis de créer son propre studio de photographie d’architecture. Mais bientôt sa passion le pousse à se consacrer entièrement à une pratique artistique de ce médium sur la trace des grands maîtres américains, Steichen, Stieglitz ou Ansel Adams.
C’est avec la découverte du Land Art et du Carré noir sur fond blanc de Malevitch que Georges Rousse choisit d’intervenir dans le champ photographique établissant une relation inédite de la peinture à l’Espace. Il investit alors des lieux abandonnés qu’il affectionne depuis toujours pour les transformer en espace pictural et y construire une oeuvre éphémère, unique, que seule la photographie restitue.
Pour permettre aux spectateurs de partager son expérience de l’Espace il présente, dès le début des années 80, ses images en tirages de grand format. Cette oeuvre forte et singulière qui déplace les frontières entre les médias traditionnels s’est immédiatement imposée dans le paysage de l’art contemporain. Depuis sa première exposition à Paris, à la galerie de France en 1981, Georges Rousse n’a cessé d’exposer et d’intervenir dans le monde entier, en Europe, en Asie (Japon, Corée, Chine, Népal.), aux Etats-Unis, au Québec, en Amérique latine…, poursuivant son chemin artistique au-delà des modes.
Il a participé à de nombreuses biennales - Biennale de Paris, Biennale de Venise, Biennale de Sidney - et reçu des prix prestigieux : Villa Médicis « hors les murs » à New York en 1983, Prix ICP (International Center of Photography), New York en 1988, Grand Prix National de la Photographie en 1993… En 2008, il succède à Sol Lewitt comme Membre associé de l’Académie Royale de Belgique.
Il est représenté par plusieurs galeries européennes et ses oeuvres font partie de collections majeures.

En savoir plus :  www.georgesrousse.com

Retrouvez Georges ROUSSE le dimanche 8 novembre 2015 à 14h aux Grandes Rencontres du Salon de la Photo 2015


Pierre-Anthony ALLARD
Concepteur lumière, photographe, né à Chicago, Pierre-Anthony Allard a fait revivre le studio Harcourt. Il est entré dans l’intimité de ceux qui font l’actualité : Prix Nobel, chefs d’Etat, chanteurs, sportifs, célébrités de tous horizons.
Pierre-Anthony Allard jongle avec un savoir-faire de directeur photo de cinéma, aussi bien avec la lumière du jour qu’avec la lumière recréée. Dans la lumière artificielle, il excelle à rendre les scènes « dramatique », théâtrales, simples ou allégoriques. Il s’adapte à l’émotion dégagée, pour la magnifier. Il utilise un oeil de peintre, et une palette de clairs obscurs à l’ancienne, pour être pionnier dans cette mise en scène si subtile qu’est la lumière.

En savoir plus :  www.pierreanthonyallard.com

Retrouvez Pierre-Anthony ALLARD le dimanche 8 novembre 2015 à 16h aux Grandes Rencontres du Salon de la Photo 2015


Jean-Paul GOUDE
Au début du XXe siècle, l'affiche et la publicité ont pris, une part prépondérante dans notre culture, les grands graphistes et créateurs en ce domaine exercent une part essentielle sur le sentiment visuel de chaque époque, qu'ils filtrent et qu'ils formulent. Mucha comme Maxfield Parrish, Cappiello comme Bérard ou Gruau, pour n'en citer que quelques-uns, donnèrent corps et expression au goût de leur époque, au point de marquer indéfectiblement nos mémoires.

Depuis plus de trente ans, s'exprimant à travers le dessin, l'affiche, la photo, le cinéma, la vidéo ou l'événement, Jean-Paul Goude aura semblablement impressionné, à tous les sens de l'expression, notre imaginaire. Des "minets" des années 60 au mythique Esquire de la décennie suivante, de la New York de Warhol et des cultures métissées à Grace Jones, dont il fut le Pygmalion, de l'éclatant défilé du bi-centennaire à la célébration du "Style Beur", des publicités Kodak ou Chanel aux variations sur Laetitia Casta, il a su de fois en fois capter l'air, ou l'esprit du temps et en donner une expression définitive.

Ce que l'on sait peut-être moins, c'est que ce travail par nature "de commande" n'est chez Goude que l'autre d'une aventure profondément individuelle, d'un parcours (marqué en particulier par la rencontre, et l'exaltation, de quelques figures féminines) transmué en une sorte de mythologie personnelle. La vie et l'œuvre sont pour Goude profondément indissociables, ce qui donne obliquement à son travail un cachet très particulier et l'élève au-dessus de la simple imagerie.

Patrick Mauriès

En savoir plus :  www.jeanpaulgoude.com




Retrouvez Jean-Paul GOUDE le dimanche 8 novembre 2015 à 18h aux Grandes Rencontres du Salon de la Photo 2015

Théo GOSSELIN
Né près du Havre en 1990, Théo Gosselin a grandi avec la mer, la forêt et le son des guitares électriques.
Passionné de dessin, de musique et de cinéma, il commence la photographie vers 2007, qui devient vite son quotidien. Théo Gosselin capture la vie de sa génération, ses aventures, les bons et mauvais moments.
Il photographie ses amis plutôt que des modèles. Éternel voyageur, il essaie de trouver la paix sur la route, en Europe et aux Etats-Unis et partage son mode de vie avec les gens qu’il aime. Sa vérité est dans les grands espaces et dans le coeur des personnages, rencontrés
tout au long de la route.
Théo Gosselin était l’un des candidats aux ZOOMS en 2014.

En savoir plus :  http://theo-gosselin.blogspot.fr

Retrouvez Théo GOSSELIN le dimanche 8 novembre 2015 à 14h aux Grandes Rencontres du Salon de la Photo 2015



ÉPECTASE
Corentin Fohlen est photojournaliste. Jérôme Von Zilw est performer, vidéaste et réalisateur de documentaires. Le premier a commencé par des études de bandes dessinées à Bruxelles, l’autre est sorti de Sciences-Po. Corentin travaille aujourd’hui pour le New York Times, Libération, Les Inrock…Jérôme, principalement pour les chaînes Tv du service public. Ce sont des amis d’enfance. Tous deux ont choisi des métiers qui les confrontent à une réalité, parfois âpre et sans concession. Ils sont investis et engagés ! Tous deux ont en commun une curiosité intense, intellectuelle et artistique, une volonté d’informer, de dénoncer, d’avancer et de croquer la vie à pleine dents. Alors, pendant leurs temps de libre, ils s’échappent de toute contrainte et s’éclatent à construire un recueil de poésie visuelle irrévérencieuse et provocante, mais toujours bienveillante. A la manière de trublions, ils sillonnent la France à la recherche d’un lieu banal, triste, inanimé et font leurs turlupinages sensés, vifs et colorés. Ils imaginent ensemble des scènes, des cadres, des compositions à la fois strictes et joyeux. Les images sont absurdes, dérangeantes, drôles, pleine de vie et de sens, remarquablement construites, soignées, piquées et piquantes ! Ce qui au départ n’était qu’un jeu s’est révélé être une aire de créativité et un nouveau moyen d’expression qui peut toucher un autre public que les lecteurs de Libé ou les téléspectateurs d’Arte…C’est ainsi qu’est né, il y a un an, le duo Epectase, ce qui veut dire à la fois « tendre vers Dieu » et « mourir en plein orgasme ».
Agnès Grégoire, rédactrice en chef de PHOTO

En savoir plus :  http://epectase.org

Retrouvez ÉPECTASE le lundi 9 novembre 2015 à 16h aux Grandes Rencontres du Salon de la Photo 2015
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