SALON DE LA PHOTO



Du jeudi 8 au lundi 12 novembre, au Parc des expositions de la Porte de Versailles
(1 place de la Porte de Versailles 75015 Paris) 




HORAIRES DU SALON DE LA PHOTO

Du jeudi 8 au dimanche 11 novembre : 10h - 19h

Le lundi 12 novembre : 10h - 18h





Le rendez-vous en France de tout ce qui fait la photographie pour tous ceux qui en font !
S’ÉQUIPER EN MATÉRIEL DE PHOTOGRAPHIE


Photographes professionnels, amateurs passionnés et néophytes,
pendant 5 jours, le Salon de la Photo est fier de réunir pour vous, les plus grandes marques du monde de l’image, fabricants, importateurs, mais aussi écoles et groupements professionnels, qui viennent dévoiler leurs nouveautés et originalités !

La photo, un loisir à la portée de tous.
La nouvelle génération est née avec un appareil photo dans les mains.
Elle vit à travers la photographie, met la photo au service de sa propre créativité. Devenue pour elle, un mode d’expression personnelle, elle est passionnée, a envie d’apprendre et de se former.
L’appareil photo numérique est aujourd'hui un équipement très largement répandu avec 71 % des Français qui déclarent en posséder au moins un.




Point de vue de la profession

Devenu au fil des ans le lieu de rencontre privilégié de tous les photographes, le Salon de la Photo est désormais le rendez-vous attendu avec impatience par un nombre impressionnant d'amateurs passionnés et de professionnels qui ont hâte de se voir ou de se revoir, dans une époque où jamais l'acte photographique n'a été aussi répandu, que ce soit avec un appareil conçu spécifiquement à cette fin ou avec un appareil dont ce n'est qu'une des fonctionnalités.

Accueillant la quasi-totalité des marques et des acteurs du marché, le Salon de la Photo offre un vaste espace d'exposition et d'échanges qui reflète l'image du dynamisme des fabricants de tous les matériels photographiques et témoigne de la volonté des principales marques de venir à la rencontre des utilisateurs de leurs produits et services.

L'édition 2018 se présente sous les meilleurs auspices, et cherchera plus que jamais à faire découvrir les innovations technologiques qui permettent d'être chaque jour davantage au service des besoins et des comportements nouveaux que génèrent les nouveaux outils de communication et les réseaux sociaux. Que ce soient des appareils de prise de vue en pleins renouvellements systémiques, avec cette année de nombreuses nouveautés importantes à découvrir et à prendre en mains, des solutions d'impression innovantes et originales, des accessoires tellement essentiels, l'offre, aussi bien dans le domaine des équipements que dans celui des logiciels, des services, de la formation et des plateformes de partage et de stockage, est à la fois séduisante et adaptée aux attentes de tous les photographes, qu'ils soient professionnels ou amateurs, amateurs éclairés ou débutants, adeptes du partage sur Internet ou amoureux des tirages de qualité. Toute la journée, de nombreux ateliers et rencontres créent l'échange avec des photographes désireux de partager leur savoir-faire.

Lieu unique où toutes les composantes de la photographie se croisent et se mêlent, où la technologie côtoie l'art et la création, le Salon de la Photo est à la fois un espace de découverte technologique, de partage d'expérience, de flânerie artistique. Cinq journées captivantes, denses, à vivre sur les deux niveaux du Pavillon 5 de Paris Expo dès 10h le matin durant les cinq jours d'ouverture.

Côté expositions, le Salon de la Photo vous emmènera en voyage, avec notamment la grande exposition "Itinéraires" consacrée au photographe allemand F.C. Gundlach,
dont l'œuvre immense est parfois méconnue en France, et l'exposition So Long de Bernard Plossu,
constituée de photographies issues des collections de la MEP, qui permettra de parcourir les Etats Unis des années 70 et 80,

Les désormais traditionnelles Grandes Rencontres du Salon permettent aux visiteurs d'écouter et échanger avec de très grands noms de la photographie, allant ainsi au-delà de la découverte des seules performances techniques dévoilées par les exposants.

Le Salon de la Photo marque aussi son soutien à la photographie professionnelle en récompensant deux photographes au talent émergent au travers des "Zooms"
du Salon de la Photo, attribués l'un par le vote du public, l'autre par la presse spécialisée. Devenu un concours international avec leur homologue des "Zooms Japan" organisés par le salon CP+ de Yokohama, les lauréats des deux concours verront leurs créations exposées au Salon de la Photo et au CP+ de Yokohama, au Japon, début 2019.

Tout se met en place pour faire du Salon de la Photo 2018 un "grand cru", avec une zone d'entrée inédite, de très nombreuses nouveautés et, pour ceux qui le souhaiteront, des achats dans le cadre du "Village de Vente" où se regroupent les enseignes partenaires du Salon.

Nous sommes fabricants de matériels destinés à aider le photographe dans sa quête de création et de qualité. Mais nous savons aussi qu'il ne peut y avoir de bonne photo sans l'œil d'un bon photographe... Retrouvons-nous au Salon de la Photo 2018 pour parcourir la photographie dans tous ses états.

BAUDOUIN PROVÉ

Président du Salon de la Photo

***********************************************************************************

Les grandes rencontres



 Le programme des Grands Rencontres 2018 

Jour
   Heure
   Photographe

********************************************************************************
jeudi 8

 
 13:30
    Sonia Sieff  

14:30      Jean Gaumy

 16:00
  LES ZOOMS 2018 // EDITORS' PHOTO AWARD JAPON 2018                                              Cédric Roux (prix public France)
Chloé Sharrock ( prix presse France)
Katsura Komiyama (prix presse Japon)
Rashiki (prix public Japon


 17:30
   LA PHOTOGRAPHIE CULINAIRE avec les photographes:                                                                                   Julie Méchali, Mathilde de l'Ecotais, Patrick Rougereau
   
*********************************************************************************

Vendredi 9
   11:00 

 Patrick James Michel

13:00
Charlotte Abramow
   
14:30
Julien Mignot

   
16:00
Matthieu Gafsou


17:30
Ernestine Ruben

   
*********************************************************************************
Samedi
    Samedi 10
   

10:30
    Une brève histoire de la photographie en un MOOC
   

11:30
    Sophie Zénon

13:00
    Vincent Fournier
   
14:30
    Frédéric Delangle & Ambroise Tézenas
     

   
16:00
   Isabelle Munoz
   
17:30
Yann Arthus-Bertrand

   
*********************************************************************************
Dimanche 11
   
11:00
   Rémi Chapeaublanc & Lionel Prado
   
12:00
   Michaël Freeman
 
14:30
   Bogdan Konopka & Géraldine Lay
   
16:00
   Ali Mahdavi
   
17:30
   Laurent Baheux 

*******************************************************************************

Lundi 12
   
11:00
   Chloé Jafé
   
13:00
   Kourtney Roy
 
14:30
   Jean-François Spirigo
   
*********************************************************************************
 

Portraits des Grandes Rencontres
Laurent Baheux
   le club recommande

Dimanche 11
  
   
17:30
 


Engagé de nature

Je ressens moins de danger à saisir l’intimité des animaux sauvages qu’à vivre parmi les hommes.

Laurent Baheux est né en 1970 à Poitiers. Après un parcours dans la photographie de sport et d’actualité, il choisit d’inscrire sa photographie au cœur de la nature.

Depuis le début des années 2000, le photographe réalise une collection d’images de la nature dans un style monochrome dense et contrasté. Avec une approche singulière qui bouscule les codes de la photographie de nature, Laurent cherche à capter la personnalité et l’humanité de chaque animal en tant qu’individu. Il adopte ainsi une démarche de portraitiste animalier où l’esthétisme et la sensibilité prévalent sur la vision documentaire. Plans serrés ou désaxés, bruit ou grain, noirs bruts et profonds, il explore toutes les voies avec comme seule exigence de magnifier son sujet plus que de le représenter.

Laurent milite activement auprès d’organisations environnementales comme le WWF, GoodPlanet, l’institut Jane Goodall, Cheetah For Ever ou One Voice. En 2013, il

est ambassadeur de bonne volonté du Programme des Nations Unies pour l’Environnement sur la campagne anti-braconnage Wild & Precious.

Ses photographies font l'objet de publications et de livres et sont exposées en galerie en France et à l’étranger.

**********************************************************************************
Charlotte Abramow
 
Vendredi 9
 

13:00



L'âme d'une guerrière

Charlotte Abramow est née en Belgique en 1993.

À 7 ans, elle s’amuse à prendre en photo ses copines dans la cour de récré au jetable, puis commence à 13 ans à se passionner pour l’image.

À 16 ans, elle rencontre Paolo Roversi lors d’un stage aux Rencontres d’Arles. L’année suivante, il écrit un article sur les images de Charlotte, intitulé « La fragilité et l’âme d’une guerrière » qui paraît dans Polka Magazine en 2011. Cette rencontre conforte Charlotte dans l’idée de faire de sa passion, son métier. Ses images circulent parmi les lycéennes et atteignent les mamans, qui travaillent, parfois, dans le milieu de la mode. À 17 ans, en parallèle du lycée, Charlotte commence à réaliser différents travaux pour des magazines et de jeunes marques belges, et fait notamment la même année la couverture du ELLE Belgique.

En 2013, à 19 ans, la Belge s’installe à Paris et étudie l'image aux Gobelins dont elle est diplômée en 2015. En 2014, elle reçoit le Prix Picto de la Jeune Photographie de Mode.. Depuis 2014, son travail aborde principalement le rapport au corps et les étapes de la vie, et met en scène les éléments de manière absurde dans un monde teinté de surréalisme.

À 24 ans, Charlotte fait ses premiers pas en tant que réalisatrice avec

« La Loi de Murphy » et « Je Veux Tes Yeux » pour la chanteuse belge Angèle. Les deux clips, soignés et absurdes, rencontrent un succès sur Internet.

Elle réalise également le premier clip officiel de Georges Brassens « Les Passantes » à l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes, sorti le 8 mars 2018. Ce poème visuel rencontre de vives réactions sur la toile, et se fait censurer quelques heures par la plateforme YouTube. Quels que soient le médium et le sujet, Charlotte a pour leitmotiv de raconter l’humain de manière poétique et métaphorique.

Bientôt 10 ans de partage de ses images sur le net ont permis à l’artiste de réunir une belle communauté.

En 2018, Charlotte Abramow signe la photographie de l'affiche du Salon de la Photo
**********************************************************************************
Yann Arthus Bertrand
 
Samedi 10
   

17:30



Un engagement pour le climat


“J’ai vu changer la terre. La planète est bien plus belle que je ne l’imaginais. Depuis que j’ai commencé à la regarder vraiment, elle n’a eu de cesse de me surprendre par sa splendeur. Cette beauté, que j’ai découverte au travers de mon travail photographique m’a transformé. C’est elle qui a fait de moi un écologiste. C’est avec le premier sommet de Rio sur le développement durable en 1992 que j’ai commencé mon travail de la Terre vue du ciel. Pendant toutes ces années que j’ai passées à photographier la terre, j’ai vu la Terre changer. Car l’impact de l’homme se voit vu du ciel. Et au cours de mes voyages et de mes recherches, j’ai constaté que tous les experts et tous les scientifiques que je rencontrais partageaient la même inquiétude. Ce que mes photos donnent à voir, eux le disent avec leurs chiffres, et ces chiffres sont effarants.” Yann Arthus-Bertrand

Né en 1946, Yann Arthus-Bertrand s’est toujours passionné pour le monde animal et les espaces naturels. Dès 20 ans, il dirige une réserve naturelle dans le centre de la France. À trente ans, c’est au Kenya dans la réserve du Massaï Mara qu’il part réaliser une étude sur le comportement d’une famille de lions. Très vite, il utilise l’appareil photo pour consigner ses observations en complément de l’écriture. Pour gagner sa vie, il est en même temps pilote de montgolfière. Il découvre le monde vu du ciel et s’adonne à la photographie aérienne parce qu’elle révèle une autre réalité d’un territoire et de ses ressources. C’est alors qu’il trouve sa vocation : témoigner par l’image de la beauté de la Terre mais aussi de l’impact de l’homme sur la planète. Cette aventure donnera naissance en 1981 à son premier livre Lions.

Yann devient photographe de grand reportage et collabore à des journaux comme National Geographic, Géo, Life, Paris Match, Figaro Magazine etc. Progressivement, il se lance dans des travaux plus personnels, notamment sur la relation homme/animal desquels sortiront les livres Bestiaux et Chevaux. A l’occasion de la première conférence de Rio en 1992, Yann Arthus-Bertrand décide de se lancer dans un grand projet photographique pour l’an 2000 sur l’état du monde et de ses habitants : c’est La Terre Vue Du Ciel. Ce livre a rencontré un succès international avec plus de 3 millions d’exemplaires vendus et l’exposition photographique en plein air, présentée dans une centaine de pays, a été vue par quelque 200 millions de personnes.

Prolongeant son engagement pour la cause environnementale, le photographe crée en 2005, la fondation GoodPlanet qui s'investit dans l’éducation à l’environnement ainsi que la lutte contre le changement climatique et ses conséquences. Yann y développe le projet 7 milliards d’Autres, réunissant plus de 6000 témoignages filmés dans 84 pays. Aujourd’hui Yann Arthus-Bertrand est autant considéré comme un militant écologiste que comme un photographe à succès. C’est cet engagement qui lui vaut d’être nommé « Ambassadeur de bonne volonté » du Programme des Nations Unies pour l’Environnement. Parallèlement, il est l'auteur de Vu du ciel, une série documentaire télévisée sur les enjeux écologiques exportée internationalement. Fort de cette expérience, Yann Arthus- Bertrand réalise un long-métrage, HOME, sur l'état de notre planète.

Il enchaîne alors des films courts en 2011 pour les Nations-Unies pour l’année internationale des forêts et sur la désertification. Puis en 2012, La soif du monde, est projeté au forum mondial de l’eau, puis c’est Planète Océan à Rio+20, au sommet mondial de l’Environnement. En 2015, HUMAN est projeté simultanément à la Mostra de Venise et à l’Assemblée Générale des Nations-Unies. À travers de multiples témoignages remplis d’amour, de bonheur, mais aussi de haine et de violence, HUMAN nous confronte à l’Autre. Cette même année, lors de la Cop21, Yann présente un autre film, TERRA, qui relate la formidable épopée du vivant.

Yann Arthus-Bertrand s’est désormais lancé dans un nouveau défi, la réalisation de WOMAN. Le travail de Yann Arthus-Bertrand témoigne de sa volonté d’éveiller une conscience collective et responsable.

********************************************************************************
Rémi Chapeaublanc & Lionel Prado
 
Dimanche 11
   
11:00

   


L'esprit de l'aventure

Tous deux voyageurs, Rémi Chapeaublanc et Lionel Prado nous invitent dans leurs aventures: traverser les steppes de Mongolie ou franchir les cîmes du Ladakh ; dans les profondeurs du noir et du blanc ou dans des couleurs fascinantes, ils partagent une même quête de spiritualité.

Photographe autodidacte, Rémi Chapeaublanc était destiné à une carrière scientifique en bio-informatique. A cette formation cartésienne, il ajoute une dimension sensible, centrée sur l'homme, dès ses débuts de photographe. Il s'est toujours intéressé aux autres et voyage sans interprète, ne parlant pas les langues des pays qu'il traverse. Le geste et l’image favorisent l’échange. C'est ainsi qu'il a perfectionné ses compétences au Canada, en Norvège, au Burkina Faso, au Népal, en Russie, en Mongolie, au Laos et bien d’autres. Pour sa série Gods & Beasts (2011), il traverse l'Europe et l'Asie jusqu'en Mongolie avec sa moto. Il a réalisé des portraits de bergers Kazakhs nomades et de leurs animaux à la tombée de la nuit, à l'intérieur ou à l'extérieur des yourtes, sans jamais avoir recours à des retouches en dépit de leur travail en numérique.

L'utilisation du clair-obscur dans les portraits sérieux et uniques de la série Gods & Beasts immobilise les comportements et renforce leur aspect renversant. Le travail de Rémi Chapeaublanc se caractérise par une photographie puissante et raffinée, à la fois humaine et engagée. Présentés côte à côte, les portraits d'hommes et d'animaux ont la même valeur, le même traitement est appliqué, amenant le spectateur à s'interroger sur la nature des relations entre l'homme et les animaux et sur le régime de valeurs que tout le monde leur confère. Pour sa dernière série, Riding the Silent Storm, il nous emmène dans un voyage personnel et introspectif.

Originaire des Alpes du sud de la France, Lionel Prado a toujours été épris de nature et vise à replacer l’homme dans son environnement naturel en le connectant de nouveau à l’essentiel. Les grands prédateurs le fascinent par le sauvage qu’ils incarnent. Tandis qu’il piste le loup qui a récemment repris sa place dans le Mercantour, Lionel Prado sent naître une envie profonde de valoriser ce retour du sauvage dans nos sociétés modernes. En quête du sens et de la profondeur de la vie, il se préoccupe de l'authenticité de la nature sauvage. Sa quête solitaire l'a amené à quitter la côte et son tumulte pour la montagne et ses sommets préservés de la modernité. « Replacer l’homme au cœur des éléments naturels, c’est le reconnecter à l’essentiel. »

Marcher à la recherche de rencontres insolites et de lumières subtiles, partir pour apprendre à se connaître face à l'immensité et au pouvoir de la nature, pour révéler ses valeurs personnelles.

Sa photographie et ses films, lui permettent de valoriser un équilibre entre l’homme et la nature et de partager l'essentiel à travers sa vision, la préservation de l’environnement. « Le média n’est pas important, seul compte le ressenti qui en découle. » En 2016, il est lauréat de la Bourse Iris remise par Vincent Munier lors du Festival photo de Montier-en-Der.****************************************************************************

Frédéric Delangle & Ambroise Tézenas  
   Samedi 10
   

  
14:30
       


Des sneakers comme Jay-Z

Deux photographes pour une seule image. Pour la réaliser Frédéric Delangle & Ambroise Tézenas partagent un protocole rigoureux. Il ne faut pas de sensationnel. L’identité du photographe doit disparaître. Ce qui est important est la relation, le moment de rencontre. Deux photos seulement pour une cinquantaine de portraits. Cela se passe au centre d'accueil d'Emmaüs de la porte de la Chapelle, à Paris. Le lieu où les hébergés peuvent profiter de dons de vêtements de seconde main. Un moment intense. Les exilés au moment du choix y sont anxieux, stressés mais exigeants… Ce vêtement, c’est leur carte d’identité. Cette Grande Rencontre portera sur notre rapport au medium photographique, en évoquant la photogénique, l’iconographie du migrant. Où est la vérité ? Les tentes de Calais, est-ce que cela nous touche encore ?

Ambroise Tézenas et Frédéric Delangle vivent et travaillent à Paris. Tous deux développent à la fois un travail de commande et un travail personnel sur le paysage et les effets de la mondialisation et de l’urbanisation sur l’homme. Auteurs de plusieurs livres monographiques, ils ont choisi pour ce projet de réaliser leurs images ensemble avec une seule chambre photographique.*********************************************************************
Festival International de la Photographie Culinaire


jeudi 8
 
 17:30
   LA PHOTOGRAPHIE CULINAIRE avec les photographes:                                                                                   Julie Méchali, Mathilde de l'Ecotais, Patrick Rougereau


Julie Mechali

Photographe culinaire et Artiste épicurienne pour qui les sens font le sens,

Pour qui l’Infiniment Petit demeure l’Inspiration de l’Infiniment Grand,

Et pour qui la Lumière est l’Origine de toutes Beautés !

Participante active à l’émergence de « LA PEINTURE CULINAIRE »,

Et riche d’une expérience de plus de 10 années…

« L’univers de Julie MECHALI, contemporain vif et coloré, bouleverse les codes et surprend. Chaque œuvre symbolise ainsi une « Sacralisation de la Vie dans l’Instant ».

Julie MECHALI est une photographe artiste née en Normandie en 1982 et résidant Porte de la Chapelle à PARIS, mais également une artiste épicurienne pour qui les sens font le sens et pour qui la lumière est l’origine de toute beauté. Comme elle

aime à le dire, pour elle « la Vie est Art autant que l’Art est vie !

Particulièrement sensible aux couleurs et aux matières dès le plus jeune âge mais également fascinée par la lumière qui selon elle sublime, enveloppe et révèle, Julie MECHALI commence dès l’adolescence à pratiquer la photographie et dès l’âge de 15 ans à modeler la lumière en travaillant les ambiances scénographiques « lumières » sur des concerts auprès de techniciens du spectacles, ce qui participera par la suite à ses débuts de réalisatrice.

Forte d’un Brevet de Technicien Supérieur de Photographie au début du 21e siècle, Julie commence dès ses 20 ans sa carrière de photographe culinaire.

Sensible à la beauté de l’instant, à l’exaltation des sens et au détail, Julie MECHALI se révèle très vite artiste tous supports et se distingue entre autre aujourd’hui par sa participation à l’émergence d’un nouveau mouvement artistique dans l’Art Contemporain et l’Art éphémère, la « Peinture Culinaire ».

Artiste contemporaine active, exposant à de nombreux événements internationaux,

Julie MECHALI s’exalte dans la liberté de la Création avec un grand C et vie son Art dans la matière et par les Sens, au plus majestueux de la lumière de l’Âme.

Une artiste au grand cœur à découvrir et à aimer sans modération. »
Mathilde de asticotais
 
jeudi 8
 

 17:30
   LA PHOTOGRAPHIE CULINAIRE avec les photographes:                                                                                   Julie Méchali, Mathilde de l'Ecotais, Patrick Rougereau



« Je suis une femme artiste inclassable. Mon fil rouge, mon expertise, ma passion : l’art culinaire au sens large. Tour à tour photographe culinaire, directrice artistique, designer, réalisatrice de food art ou de film publicitaire, styliste culinaire pour les grands chefs tels que Thierry Marx ou Alain Ducasse, je définie l’aliment comme sujet d’une oeuvre en perpétuelle mutation. La photographie de nature morte qu’elle soit conçue pour un livre de recettes,

un packaging alimentaire, un objet d’art ou de design part toujours de la même motivation à mes yeux : être une photo artistique, que l’on peut regarder comme un tableau moderne, de l’art abstrait.

Mon travail s’exprime à la manière de la nature qui m’inspire: librement.

Je sors du cadre pour créer une piscine design unique, cuisine design, une salle de bains originale. De la photographie culinaire à la photographie d’art, de la vidéo à l’installation, de l’objet au décor, de l’art à la décoration, je partage sans relâche la singularité de mon regard dans des projets toujours plus ambitieux et immersifs.

J’aime m’approprier une commande pour la mettre au service de mon oeuvre. De collaboration en collaboration, j’investis sans relâche de nouvelles voies d’expression où l’image devient une matière d’expression à part entière : l’outil d’un design prospectif et émotionnel. »*********************************************************************************

Patrick Rougereau

jeudi 8
 
 17:30Un parcours atypique. D’abord photographe reporter, il est devenu, aujourd’hui, l’un des spécialistes de la photographie culinaire de grand talent, reconnu des plus grands chefs comme des plus grandes marques.

Depuis toujours, une double passion anime ce photographe audacieux, il associe photographie et gastronomie dans la plus grande créativité.

Il aime, les photos qui disent la précision et la simplicité, jouer avec les lignes et les matières pour sublimer le produit et donner l’envie.

Pour lui, il n’est pas de bonne ou mauvaise photo, la seule qui soit réussie, est celle qui crée l’envie et l’émotion.

J’ai trouvé dans l’art culinaire, un challenge à relever, des produits vivants, une technicité précise et surtout un échange extraordinaire avec celles et ceux qui partagent avec moi cette passion commune de la cuisine et sans qui je ne pourrai exercer ce métier.******************************************************************************
Vincent Fournier

Samedi 10


13:00
   
Space Utopia

Vincent Fournier est un artiste photographe français dont le travail explore les grands récits utopiques et futuristes. Son projet fondateur Space Project débuté en 2007, montre sa vision à la fois esthétique et poétique de l’aventure spatiale. Les architectures futuristes, l'intelligence artificielle et la robotique seront ses autres terrains de jeu. Son travail le plus récent Post Natural History pose la question de la frontière entre naturel et artificiel avec le développement des technologies du Vivant. Ses images, très composées, sont à la fois rigoureuses et sensibles, documentaires et mises en scène. Elles sont tendues par des oppositions qui viennent troubler notre regard et questionner notre perception du réel. Dans ces archives imaginaires, la mémoire fonctionne dans les deux sens – ou comme le dit la Reine Blanche dans Alice au Pays des Merveilles : dans le passé mais aussi dans le futur. Un monde dans lequel on se souvient de ce qui n’est pas encore survenu, de ce qui adviendra demain.

Ses oeuvres font partie de plusieurs collections, dont le Metropolitan Museum of Art (MET) à New York, le Centre Pompidou à Paris, la Fondation Mast à Bologne, la Collection Dragonfly du Domaine des Etangs à Massignac ou encore la collection LVMH à Paris avec le Bon Marché.

En octobre 2018, les éditions Noeve et Rizzoli lui consacrent un important ouvrage

« Space Utopia » sur son tour du monde de l’exploration spatiale au cours des 10 dernières années. En plus de l’édition classique, l’artiste crée une œuvre en 3D inspirée des chambres anéchoïques utilisées dans le domaine spatial et qui contient une édition collector du livre éditée par Noeve. Le site du livre : www.space-utopia.com*************************************************************************
Michael Freeman
 
Dimanche 11

12:00

 


Qu'est-ce qu'une photo réussie ?

De quoi une bonne photo est-elle faite ? Qu’est-ce qui va rendre nos images remarquables ? Photographe de renommée mondiale et auteur spécialisé en photographie numérique Michael Freeman répond à ces questions et livre les clés qui nous permettront de développer une vision toute personnelle.

Photographe reconnu, mais également pédagogue confirmé, Michael Freeman fait partie des photographes les plus publiés à l’international. Après avoir obtenu une maîtrise de Géographie à l’Université d’Oxford, durant laquelle il s’intéresse particulièrement à l’Anthropologie, il entame sa carrière à Londres, dans un tout autre domaine, celui de la publicité.

Michael Freeman est né en Angleterre en 1945.

En 1971, il part remonter l'Amazonie avec deux appareils photo d'occasion. A son retour, Time-Life diffuse les photographies de son voyage dans son numéro spécial Amazone de leur série World's Wild Places, dont il fait la couverture. Encouragé par le magazine, il démarre une carrière de photographe professionnel à plein temps et devient alors, un photographe de reportage de premier plan. Cet auteur prolifique, a publié 147 livres sur des sujets aussi variés qu’Angor, le Soudan, les minorités ethniques en Asie du Sud-Est, les Shakers, le design et l’architecture japonaise contemporaine. Ses ouvrages pédagogiques sur la photographie sont aujourd’hui des références et ont été traduits dans une vingtaine de langue. Aujourd’hui basé à Londres, Michael Freeman voyage la moitié de l’année pour des reportages, principalement en Asie et nous fait l’honneur de venir nous présenter son dernier livre « Qu’est-ce qu’une photo réussie ?, Le savoir-faire d’un grand photographe pour des images fortes et personnelles » publié aux éditions Dunod en octobre 2018.******************************************************************************
Matthieu Gafsou
 
Vendredi 9
16:00
   

H+

Matthieu Gafsou est né en 1981 en Suisse.

Franco-suisse, il vit et travaille à Lausanne. Après un master à l’Université de Lausanne (histoire et esthétique du cinéma, philosophie et littérature), c’est du jour au lendemain qu’il se met à la pratique de la photographie, décidant bientôt de suivre la formation supérieure en photographie de l’École d’Arts appliqués de Vevey. Son travail de diplôme, consacré aux faux-semblants de l’urbanisme tunisien « Surfaces », le fait très vite remarquer en Suisse et à l'international. Il obtient le prix de la fondation HSBC pour la photographie en 2009, participe à l’exposition « reGeneration2. Photographes de demain » du Musée de l’Elysée à Lausanne en 2010, et reçoit le Prix culturel du canton de Vaud en 2015.

À l’instar d’enquêtes photographiques, Matthieu Gafsou expérimente avec une sensibilité poétique des thématiques actuelles. Que ce soit le développement du tourisme en milieu alpin avec sa série « Alpes », ou bien encore l’univers poignant des toxicomanes lausannois dans « Only God Can

Judge Me ». Le photographe parvient à faire surgir un esthétisme où le médium photographique s’éloigne de la figuration littéraire afin de plonger dans une réalité s’éloignant des clichés sociétaux. En 2018, Matthieu Gafsou expose H+, série qui traite du transhumanisme, aux Rencontres de la photographie d'Arles et publie conjointement le livre éponyme (Kehrer / Actes Sud)****************************************************************************
Jean Gaumy
  le club recommande
jeudi 8
 
14:30     


La photographie dite "humaniste"

« Prendre des photos pour Jean Gaumy, c'est comme pêcher ou écrire. C'est sortir de l'inconnu ce qui résiste et refuse de se révéler. » Lors de son installation à l’Académie des beaux-arts en octobre, le peintre officiel de la Marine et cinéaste membre de l’agence Magnum Photos, a exprimé son attachement particulier à la photographie dite « humaniste ». Cette photographie à hauteur d’homme est lucide, critique, très porteuse de sens, d’utopie : de tout ce qui n’a pas de prix.

Né en 1948, Jean Gaumy intègre, en 1973, l’agence Gamma à la demande de Raymond Depardon ; il initie alors deux reportages au long terme sur des sujets jamais encore traités en France, le milieu hospitalier et carcéral.

Il rejoint l’agence Magnum en 1977. Également réalisateur, il explore dans ses films et reportages le monde de la vie rurale et maritime. Il réalise en 1984 son premier film, La Boucane ; d’autres films suivent, souvent primés, tous diffusés par les télévisions françaises et européennes. Cette même année, il commence un cycle d’embarquements hivernaux à bord de chalutiers qu’il poursuivra jusqu’en 1998 et qui donnera lieu à la publication du livre Pleine Mer. Il réalise de nombreux reportages en Afrique, en Amérique centrale et au Moyen-Orient. Son premier voyage en Iran se déroule lors de la guerre avec l’Irak en 1986, où il prendra une photo devenue célèbre de femmes iraniennes s’exerçant à tirer pendant la guerre Iran-Irak. Après Jean-Jacques, chronique du bourg d’Octeville-sur-Mer vue par les yeux de l’« idiot du village» en 1987, il réalise son troisième film, Marcel, prêtre, en 1994, tourné en plusieurs années à Raulhac, dans le Cantal. Dès 2005, il engage les repérages et le tournage du film Sous-Marin pour lequel il passe quatre mois en plongée lors d’une mission à bord d’un sous-marin nucléaire d'attaque. Il entame un travail de reconnaissance photographique qui le conduit des mers arctiques aux territoires contaminés de Tchernobyl en Ukraine. Pour le même projet, il repart en 2010 à bord du plus récent des navires dédiés à la dissuasion nucléaire. Il a reçu le prix Nadar en 2002 pour Pleine Mer puis en 2010 pour D’après nature, une série de paysages de montagne. Il est nommé officiellement Peintre de la Marine en 2008. En 2018, il est président du jury des Zooms du Salon de la Photo.*****************************************************************************
Bogdan Konopka & Géraldine Lay
 
Dimanche 11
    
14:30

Les contes du Nord


Dans le livre Bogdan Konopka, Un conte polonais, Christian Caujolle, pose la question du portrait, en photographie « complexe dès lorsqu’elle s’attache à explorer un territoire avec lequel, pour des raisons liées à notre propre histoire, à notre identité, à notre intimité, nous entretenons des relations souvent irrationnelles. Débarrassé de tout risque de séduction exotique, éloigné des facilités anecdotiques

qui surfent sur les apparences en toute superficialité, Bogdan Konopka qui se penche sur son propre pays entretient avec lui des sentiments exacerbés qui peuvent, dans les cas extrêmes, mener aussi bien à l’exil qu’au nationalisme. Parler de son pays d’origine c’est, forcément, parler aussi de soi. C’est dire ce qui fait que l’on éprouve une appartenance à un groupe forgé des hasards d’une naissance sur un territoire singulier et que l’on réagit à son histoire, quand on l’accepte aussi bien que quand on la refuse. Amour, haine, passion. Inéluctablement. ».

Né en 1953 sous le régime communiste, Bogdan Konopka sait qu’il appartient à la Pologne de l’après Shoah et il n’accepta jamais les mensonges officiels concernant cette période de l’histoire du pays. Arrivé en France en 1988, il est reconnu pour son travail sur les faces cachées des villes – Paris, Varsovie, Prague, Berlin, Zurich, Budapest, Pékin ou Shanghai… –, où son regard s’attache à nous livrer ce qu’il nomme lui-même « leur patrimoine du rien ». Il est représenté en France par la galerie Françoise Paviot.

Avec North End Géraldine Lay poursuit en Grande-Bretagne ses explorations urbaines sensibles et sa mise en question de l’humanité citadine. Sa méthode, c’est d’appréhender mentalement ses territoires avant de les photographier.

Elle en éprouve la lumière, l’atmosphère..., imprégnation, plus que repérage, qui instille une intimité au cœur même de l’anonymat.

Au fil des rues, des places, des corners banlieusards, des vies sont saisies dans le mystère de leur existence quotidienne... Comme le note l’écrivain irlandais Robert McLiam Wilson : « Des gens marchent et attendent. Ils parlent, boivent du café. Ils traversent des rues. Ils travaillent. Ils se déplacent. Ce sont des citoyens occupés à des choses citoyennes. Comme tous les citoyens, partout, ils sont multiples, variés, divers. Hommes, femmes, enfants. Ils sont aussi britanniques. Incroyablement britanniques. Ils ne pourraient pas être d’ailleurs ». À l’heure d’une universalité exponentiellement et irrémédiablement standardisée, les photographies de Géraldine Lay réaffirment tout à la fois la permanence des individualités singulières et la résistance des identités collectives.

Née en 1972, à Mâcon, France, Géraldine Lay vit et travaille à Arles.

Diplômée de l’École nationale supérieure de la photographie, Géraldine Lay travaille aux éditions Actes Sud. Elle est représentée par la galerie Le Réverbère, à Lyon. Son travail se partage entre le nord de l’Europe (Failles ordinaires, North End) et en France (Impromptus, Où commence la scène). En 2016, elle commence un travail au Japon. Elle a été lauréate du programme Hors les murs, de l’Institut français.*****************************************************************************
Chloé Jafé

 Lundi 12
   
11:00

   


Le don de sa vie


Née en 1984 à Lyon, Chloé Jafé est diplômée de l’école de Condé. Elle a poursuivi sa formation de photographe au studio Pin-up à Paris comme assistante de plateau, puis au Central Saint-Martins College of Art de Londres. Elle y développe un projet d’installation, Him, qui mêle photographies, objets et poèmes, entre songe et réalité, autour de la quête d’un homme résidant au Japon. Après avoir travaillé au bureau de Magnum Photos de Londres en 2013, elle emménage à Tokyo.

Hôtesse quelques temps dans les quartiers de Shinjuku et de Ginza, Chloé Jafé rencontre un chef yakuza de Tokyo qui l’autorise à photographier son quotidien. Elle décide alors de suivre les femmes de l’organisation criminelle. En tant qu’épouses, filles ou maîtresses, celles-ci y jouent un rôle important, d’où le titre de la série Inochi azukemasu qui signifie « le don de sa vie ».

Reprenant la spontanéité du carnet de voyage, ses photographies en noir et blanc montrent tantôt des moments d’intimité entre les couples yakuzas, tantôt des réunions de chefs de clans.

Chloé Jafé donne une place prépondérante aux gestes et aux corps souvent

tatoués dont elle prolonge parfois les motifs hors du cadre de l’image. Rehaussées de gouache de couleurs vives qui traduisent, en quelque sorte, la violence latente du groupe et renforcent le graphisme des contrastes d’ombres et de lumière, ces photographies évoquent avec une forte charge symbolique le poids du rituel et des traditions.

Elle est représentée par la galerie japonaise Akio Nagasawa Gallery.***************************************************************************
Ali Mahdavi
 
Dimanche 11
       
16:00
 


Glamour à corps perdu


Ali Mahdavi est un artiste pluriel, plasticien, photographe, directeur artistique et réalisateur fasciné par le culte de la beauté, le corps de l’homme et ses détournements. Né à Téhéran en 1974, il fuit l’Iran avec sa famille à l’âge de 7 ans. À Paris, il s’oriente vers des études d’art, à l’Ecole Boulle, puis s’ouvre à la mode, en intégrant l’Ecole Duperré. Il est d’abord styliste au studio de création de Thierry Mugler avant d'intégrer les Beaux-Arts de Paris, dont il sortira diplômé avec les félicitations du jury.

Suite à une exposition de son travail de plasticien et de photographe à la Galerie 213, Ali Mahdavi est repéré par l’univers de la mode et commence à shooter pour des magazines prestigieux. S’ensuivent des campagnes de publicité pour de grandes marques comme Cartier, Cointreau, Dom Pérignon, ou encore Christian Louboutin. Il réalise également de nombreux portraits de personnalités de la mode et du cinéma et s’impose rapidement comme « l’ambassadeur du glamour », jouant avec la lumière pour magnifier et révéler une beauté exubérante et mystérieuse, très inspirée par l’éclat hollywoodien des années 30, 40 et 50. Dans cette continuité, il devient directeur artistique du Crazy Horse Paris, où il met en scène, avec le chorégraphe Philippe Decouflé, la revue Désirs.

Parallèlement, il poursuit ses recherches artistiques personnelles autour des rapports de l’homme à la beauté, à son corps et à ses limites, ceci en explorant pleinement ses propres contradictions. Il crée ainsi des images intemporelles qui font appel aux thèmes récurrents de l’inconscient collectif que sont la beauté, le désir et la mort.*******************************************************************************
Patrick James Michel
 
Vendredi 9
   11:00 




Mode, aventure et spiritualité


Patrick James Michel est un photographe- cinéaste-voyageur français aux multiples facettes. Son travail traite les thèmes des cinq éléments, de la résonance, de l'énergie vitale dans les traditions spirituelles de l’animisme, du shamanisme, de l'hindouisme et du bouddhisme. Il voyage dans des destinations reculées à la recherche de résonance avec des personnes et des lieux à l’énergie très forte. Patrick revendique, dans son travail, la conception artisanale des procédés photographiques du XIXème siècle: collodion humide, héliogravure à grain, tirages platine. Ses projets sont réalisés avec des chambres photographiques grand format. Son travail renvoie à la recherche des artistes photographes- cinéastes explorateurs : Curtis, Jean Rouch, Tixador-Poincheval. Le travail de Patrick dans la mode a figuré dans des magazines tels que Vogue Hommes, GQ, Wad, Tank, Jalouse, Elle, Marie Claire, Rolling Stone, Trace, Milk, Conde Nast Traveller...

Un film documentaire, long métrage est en cours de production sur le thème de l’Energie Cosmique.

Son livre FIVE sur le thème des cinq éléments a été publié par Steidl. Il a exposé à la Galerie 213 Paris, à Paris Photo, au Festival of Naardeen aux Pays-Bas, au Musée Wells Fargo à San Francisco.

Il est représenté par TransAtlanticArt.*********************************************************************
Julien Mignot
 
Vendredi 9
 

   
14:30



J'adore ce que vous faites !


Ce que Julien affectionne par dessus tout dans la photographie, c'est le contraste et la possibilité de rassasier une furieuse curiosité. La nuit, il oscille entre le Silencio et la Philharmonie de Paris. Le jour entre les backstages des défilés de mode, des portraits de musiciens classiques et pop, le Festival de l'Image d'Amman en Jordanie dont il commissionne la partie française, et J'Adore Ce Que Vous Faites!, son studio près du Canal Saint-Martin.

Ses images se retrouvent dans les pages du New-York Times, Libération, Le M du Monde, feu Voxpop, Elle, le New-Yorker, Grazia, les cimaises d'agnès b. ou dans le métro parisien. Son objectif a capturé l’esprit de Jeanne Added, John Boyega, John Cale, Dimitri Chamblas, Etienne Daho, Xavier Dolan, Valérie Donzelli, Adam Driver, Adèle Exarchopoulos, Laurent Fabius, Elle Fanning, Golshifteh Farahini, Abel Ferrara, Louis Garrel, Raphaël Glucksmann, Adèle Haenel, Isabelle Huppert, Eva Ionesco, Manal Issa, Harvey Keitel, Sandrine Kiberlain, Arianne Labed, Charlotte Lebon, David Lynch, Sienna Miller, Jean-Louis Murat, Nagui, Pierre Niney, Agnès Obel, Phoenix, Edwy Plenel, Charlotte Rampling, Calypso Rose, Rover, Chloé Sevigné, Da Silva, Soko, Kristen Stewart, Gaspard Ulliel, Marine Vacht, Paul Verhoeven, Naomi Watts, Pharell Williams, Nicolas Winding Refn…*****************************************************************************
Isabel Muñoz
 
Samedi 10
   
16:00


L'Anthropologie des sentiments


Isabel Muñoz, née à Barcelone en 1951, est installée à Madrid depuis 1970. Danseurs, lutteurs, moines guerriers, toreros, prisonniers, tribus, enfants et primates, Isabel Muñoz, se distingue par la diversité de ses propositions. Passionnée par le corps, c’est à travers les danses et les luttes traditionnelles qu’elle aborde les cultures et les réalités sociales complexes auxquelles son regard est confronté au fil de ses voyages. Son approche très tactile de la photographie fascine et fait appel aux cinq sens. La puissance de ses clairs obscurs sublime ses sujets. Ses tirages platines et ses grands formats renforcent son discours et la profondeur de ses noirs nous fait perdre la notion du temps.

Sa première série, Tango et Flamenco en 1989, marque le début d’un voyage à travers de nombreuses cultures dans lequel elle cherche à capturer la beauté du corps humain sous toutes ses formes et ses expressions.

Sa première exposition, Toques, en octobre 1986 à l’Institut français de Madrid ainsi que sa participation au Mois de la photographie à Paris en novembre 1990, marquent le lancement de sa carrière.

De nombreuses expositions, individuelles et collectives suivront et très rapidement, Isabel Muñoz va acquérir une forte présence dans le monde artistique contemporain, national et international. Sa reconnaissance professionnelle se matérialise également par la présence de ses œuvres dans différentes collections nationales et internationales, parmi lesquelles on peut citer le musée du Centre National d’Art Reina Sofía à Madrid, la Fondation Canal de Madrid, la Maison Européenne de la Photographie de Paris et le New Museum of Contemporary Art à New York. En 2018, l'exposition L'Anthropologie des sentiments est présentée à Madrid, une monographie trilingue l'accompagne.***********************************************************************
Kourtney Roy
 
Lundi 12
   

   
13:00


La mythologie du soi

Kourtney Roy est née en 1981, dans l’Ontario, au Canada. Fascinée par la création d’une mythologie tragique du soi, elle imagine un univers intime où se côtoient merveilleux et mystère. Avec son écriture photographique, les lieux et espaces sont des sources d’inspiration dont la poétique souligne la banalité et le quotidien.

Affectionnant l’autoportrait et le postiche, Kourtney Roy se met en scène, le plus souvent seule, dans un rapport au monde aussi décalé que fantasmé. Les personnages qu’elle incarne sont tristes et impassibles, fiés dans une existence ordinaire qui semble se faire l’écho d’une époque passée. Grandes étendues fantômes, décors cinématographiques, artifice de la culture populaire sont autant de réminiscences qui hantent ces images délectables. Un monde vernissé qui se craquelle sous les accès d’autodérision chers à la photographe.

Empreintes d’un charme noir qui doit aussi bien au grotesque de situations faussement tranquilles qu’à leur tension trouble, ses photographies ont notamment été récompensées par le Prix PICTO en 2007, l’Emily Award au Canada en 2012, La Carte Blanche PMU/Le Bal en 2013, et par sa nomination pour le Prix Elysée au Musée de l'Elysée à Lausanne en 2014. Patrick Rémy

En 2018, elle réalise la commande photographique annuelle pour le Groupe Pernod-Ricard intitulée Go the extra mile, présentée à Paris Photo.****************************************************************************





Sont déjà venus aux Grandes Rencontres depuis leur créations en 2007 :

Philippe LEVY-STAB . Brice PORTOLANO . Céline JENTZSCH . Rudy BOYER . Noriko YAMADA . Hisaya KATAGAMI . Eric TOURNERET . Olivier FÖLLMI. Sebastiao SALGADO Thomas DHELLEMMES . Franck HAMEL . Julie MECHALI . Christian LE SQUER . Franck SORBIER . Carlos AYESTA et Guillaume BRESSION . Sacha GOLDBERGER . Sylvie BONNOT . Christophe BEAUREGARD . Oliviero TOSCANI . Sam STOURDZE . Fabrice COURTHIAL . Raphaëlle BERTHO . Patrick WILLOCQ . Vincent PEREZ . Jean-Claude GAUTRAND . CharlElie COUTURE . Guillaume DESJARDINS . Antoine SCHNEK . José NICOLAS . Franck SEGUIN . Alain KELER . Alexis PICHOT . Antoine LE GRAND. Arnaud BAUMANN . Axelle DE RUSSÉ . Bernard DESCAMPS . Bernard PLOSSU . Bertrand DESPREZ. Bettina RHEIMS . Blanca LI . Bruno BARBEY .Catherine HENRIETTE . Cédric DELSAUX . Cédric KLAPISCH . Charles AZNAVOUR . Christian CHAMOURAT . Christine et Michel DENIS-HUOT . Christine SPENGLER . Claude NORI . Claudine DOURY . Corinne MERCADIER . Denis DAILLEUX . Denis DARZACQ . Denis ROUVRE . Diane TELL. Dominique ISSERMANN . Émeric LHUISSET . Eric BOUVET . Eric TRAORÉ . Florence NOTTE . Florent DEMARCHEZ . Floriane DE LASSÉ . Francis GIACOBETTI . François DARMIGNY . Françoise HUGUIER . Frank HORVAT . Frédéric LECLOUX . Georges ROUSSE . Gérard RANCINAN . Gérard RONDEAU . Gérard VANDYSTADT . Gianni BERENGO GARDIN . Gilles OUAKI . Giovanni GASTEL . Goksin SIPAIOGLU . Guillaume HERBAUT . Guy LE QUERREC . Hady SY . Hans SILVESTER . Iris BROSCH . Jane Evelyn ATWOOD . Jean MARQUIS . Jean-Christophe BÉCHET . Jean-Louis BLOCHLAINÉ. Jean-Marie PÉRIER . Jean-Paul GOUDE . Jean-Yves LEMOIGNE . Jérôme SESSINI . Joan BARDELETTI . JR . Juls BOO . Karl LAGERFELD . Kimiko YOSHIDA . Kyriakos KAZIRAS .Laurence GUÉNOUN . Laurent BALLESTA . Laurent KRONENTAL . Laurent MILLET . Laurent MONLAÜ . Leïla ALAOUI . LENAKA . Léo DELAFONTAINE . Lizzie SADIN . Lola REBOUD . Loustal. Luc CHOQUER . Lucie & Simon . Lucien CLERGUE . Marc RIBOUD . Marie-Laure DE DECKER .Marie-Paule NÈGRE . Mathilde DE L’ECOTAIS . Matthieu BERNARD-REYMOND . Michel BRAS .Michel SETBOUN . Micheline PELLETIER . Miquel DEWEVER-PLANA . Mohamed BOUROUISSA. Nicola LO CALZO . Nicolas GUÉRIN . Nicolas HENRY . Nicolas RIVALS . Noël QUIDU . Olivier JOBARD . Olivier LABAN-MATTEI . Orlan . Paolo VERZONE . Pascal MAITRE . Pascal ROSTAIN et Bruno MOURON . Patrick CHAUVEL . Patrick ROUGEREAU . Patrick TOURNEBOEUF . Patrick ZACHMANN . Peter KNAPP . Philippe GUÉGUEN . Pierre DE VA



LLOMBREUSE . Pierre GONNORD. Pierre TERRASSON . Pierre-Anthony ALLARD . Quentin BERTOUX . Ralph GIBSON . Raymond CAUCHETIER . Raymond DEPARDON . Renaud COULOUER . Reza . Roland & Sabrina MICHAUX. Romain LAURENT . Sabine WEISS . Sacha VAN DORSSEN . Samuel BOLLENDORFF . SarahMOON . Scarlett COTEN . Sebastiao SALGADO . Stanislas GUIGUI . Stanley GREENE . Stéphane COUTURIER . Stéphane LAVOUÉ . Steve HIETT . Thomas DEVAUX . Valérie JOUVE . Vee SPEERS . Véronique DE VIGUERIE . Victor COUCOSH . Vincent MUNIER . Vincent PEREZ . Vyaba Léon OUEDRAOGO . William DANIELS . William KLEIN . Xavier DESMIER . Xavier LAMBOURS . Xavier ZIMBARDO . Yan MORVAN . Yann ARTHUS-BERTRAND . Yves MARCHAND & Romain MEFFRE.

    Expo de la MEP : Bernard Plossu - So long


 Pavillon 5.1 Stand E029






BILLETTERIE

Plein tarif : 12 Euros
Tarif réduit : 6 Euros (étudiants, moins de 18 ans, groupes de 10 personnes, comités d'entreprises)
Gratuit pour les - de 12 ans

Billetterie du Salon de la Photo 2018

GROUPES ET COMITÉS D'ENTREPRISE

Une billetterie groupe (minimum 10 personnes) et comités d'entreprises est à votre disposition à l'adresse suivante :

Billetterie groupe / CE (paiement en ligne)

Billetterie groupe / CE (paiement par chèque)

VESTIAIRE

Un vestiaire est à votre disposition à l'entrée du salon

TARIFS

    VÊTEMENT : 2 €
    PETIT BAGAGE : 3 €
    GROS BAGAGE : 4 €
La Grande Expo F.C. Gundlach


F.C. GUNDLACH - « Itinéraires » d'un photographe de mode

F.C. Gundlach, photographe allemand né en 1926, a marqué la deuxième moitié du XXe siècle dans le domaine de la photographie de mode. Son lien avec Paris est d’une importance primordiale dans sa carrière.

Après des études de photographie à Cassel (Allemagne), à la recherche d’inspiration et assoiffé de culture, il arrive dans la capitale française en 1950. Il photographie la ville et commence ses premiers reportages de mode en indépendant. Il devient rapidement un photographe en vue dans les publications allemandes des années 1950 et 1960. A l’instar de ses contemporains, Jeanloup Sieff, Frank Horvat et William Klein, ses images élégantes et raffinées illustrent les nouvelles créations des grandes maisons de couture parisiennes.
A travers ses photographies, les jeunes femmes allemandes d’après-guerre découvrent les nouvelles tendances de la mode parisienne. Par ses couvertures et ses portfolios dans Brigitte, le magazine féminin le plus diffusé en Allemagne, ainsi que Film und Frau, il a marqué indéniablement son époque.

Une journée à la plage, Karin Mossberg, Bonnet de bain par Radium : Gizeh 1966 (C) F.C.Gundlach Foundation

Son talent s’exprime à la fois dans son interprétation d’une robe New Look de Christian Dior, d’un modèle de Jacques Fath, ou dans les expérimentations Op-Art et Pop Art de Pierre Cardin ou de Courrèges. Ce qui l’intéresse surtout, c’est de valoriser la créativité et l’imagination débordante des couturiers en vogue et, en sortant les mannequins dans la rue, de mettre la femme moderne en scène, pour faire rêver les lectrices des magazines qui s’y identifient.
Ami de Horst P. Horst, Avedon, et Penn, il a côtoyé les plus grandes stars du moment et réalisé des portraits de Romy Schneider, Godard, Von Stroheim. Il a travaillé également avec les mannequins vedette français et allemands: Bettina, Gitta, Wilhelmina…

Gunnel Persson, Tribunal Fédéral Suprême : Brasilia 1963 (C) F.C.Gundlach Foundation

Cette grande exposition de 120 photographies retrace sa carrière et ses liens particuliers avec Paris. Alors qu’il fête cette année ses 92 ans, il renoue avec une ville chère à son coeur : celle qui l’a le plus influencé à ses débuts et qui, pendant trois décennies de jet-setting autour du globe, reste une de ses principales références.
L’Exposition retrace en même temps sa collaboration avec les plus grands créateurs de mode allemands. Ainsi avec un regard toujours tourné vers l’avenir et l’innovation, F.C. Gundlach apparaît comme l’un des photographes allemands les plus inventifs de son époque. En le mettant à l’honneur, le Salon de la Photo rend ainsi hommage à une oeuvre foncièrement originale et encore peu connue du public français.
Simon Edwards
Directeur artistique, Salon de la Photo


Exposition organisée avec le soutien de La Fondation Gundlach, Hamburg commissaires Sebastian Lux et Franziska Mecklenburg

Expo de la MEP : Bernard Plossu - So long


L'Ouest américain des années 70 à 80 sous l'œil de Bernard Plossu
MEP - Bernard Plossu - So long 1

Crédit photo : Arizona 1980 © Bernard Plossu / MEP

A la fin des années 60, Bernard Plossu découvre les Etats-Unis depuis le Mexique où ses grands-parents ont émigré
. Bill Coleman, qui deviendra ensuite un de ses plus fidèles amis, sera son passeur et son guide. Il s’y installe en 1977 et y fonde sa famille.

Cette année au Salon de la Photo, La Maison Européenne de la Photographie présente « So Long », une trentaine de tirages de grande taille, témoignant des voyages successifs du photographe pendant les années 70 et 80 aux USA. C’est durant toutes ces années dans l’Ouest américain que sa pratique photographique va prendre toute son ampleur face à l’immensité et à la diversité des paysages qui s’offrent au regard de l’artiste, qu’il est en train de devenir. Ces photographies traduisent ses parcours successifs jusqu’à son retour définitif en France en 1985. Des images qui se déroulent ainsi librement, qui se présentent comme autant de road movies sans début ni fin, où le réel américain se confond avec sa propre mythologie.

La Mep rend ainsi hommage à ce grand photographe voyageur qui dévoile une expérience de vie, récit initiatique autant que journal de bord d’un voyage de près de quinze ans, dont le fil s’étire comme une longue route traversant le désert sur laquelle il joue les funambules du hasard et du destin. Les étapes furent heureuses et les trajets fulgurants jusqu’à son terme aussi imprévisible que définitif. « America : Love it or Leave it » « So Long », répond Plossu, des images plein la tête et l’oeil pétillant.*
*Extraits du texte de Marc Donnadieu dans le livre « So Long »
FRAC Haute Normandie/Yellow Now-
 Côté photo
Arizona le pays de Cochise, le chef des Apaches Chiricahuas, New Mexico, Colorado, Utah, Nevada, California, Western Texas et Western Oklahoma, c’est cette immense désert qui va jusqu’à la mer, jusqu’à l’océan pacifique, chaud au Sud dans les palmiers et proche de Mexique (Los Angeles), et brumeux et oriental, écossais même parfois, au Nord, la superbe région Big Sur (San Francisco)… C’est là que j’arrivai par un hasard extraordinaire, à 21 ans, chez mon ami Bill Coleman ! Nous venions de Mexique où nous nous étions rencontrés.
Et j’y retournerai tout le temps dès que possible, dans cet Ouest gigantesque, sillonnant les routes et les pistes petit à petit, au cours des ces années, partout, jusqu’à ce que je m’y installe pour de bon au début de l’hiver 1977, près de Taos, à deux mille deux cents mètres d’altitude, au pays de la sauge, sur les hauts plateaux, où Shane naquit le 14 juillet 1978 !
A partir de là, c’est aussi à pied que je découvrais les coins plus sauvages de ce « jardin de poussière » avec me amis Dan et Doug.
Ces photographies sont l’itinéraire de ces années où je suis resté là pour de bon, de ces routes sans fin, au rythme des saisons…
Elles sont aussi un témoignage sur une manière de vivre des gens de l’Ouest, de leurs cultures, qu’ils soient Indiens, Chicanos ou Anglos, en ville ou dans des coins perdus, jusqu’en 1985, date où je rentrai définitivement en Europe.
Bernard Plossu






Ma Photo au Salon

Exprimez votre créativité en soumettant votre photo, elle pourraît apparaître au Salon !
Le Salon vous met à l'honneur


Grande première en 2018, le Salon de la Photo vous permet de vous exposer ! Incarnez le "Mouvement" comme le visuel 2018 réalisé par Charlotte Abramow et soumettez votre plus beau cliché. Celui-ci pourrait être tiré et exposé dans une mosaïque géante à l'entrée du salon, du 8 au 12 novembre 2018 !Votre photo doit respecter les critères suivants :
- Format portrait ou paysage ou carré, 4:3 ou 2:3
- Couleur ou noir et blanc
- Haute résolution d'un poids minimum de 4 Mo, jusqu'à 15 Mo
- Respect du thème du "Mouvement"
Conditions de participation

- Vous acceptez que votre photo puisse être imprimée et reproduite, en tout ou partie, parmi d’autres photographies sur une mosaïque géante à l’entrée du salon ;- Vous prenez acte que la société COMEXPOSIUM demeure libre de ne pas intégrer ma photographie à la mosaïque. Il s’agit d’une décision discrétionnaire qui ne saurait donner lieu à des dommages-intérêts ;
- Vous garantissez la société COMEXPOSIUM que vous êtes bien l’auteur de cette photo et l’autorisez expressément, ainsi que le groupe COMEXPOSIUM, à titre gracieux, à l’exposer pendant toute la durée du salon ;
- A utiliser librement cette photographie ou tout ou partie de celle-ci intégrée à la mosaïque sur tous supports, à des fins de communication sur l’opération en France comme à l’étranger et pour une durée de cinq ans à compter de ce jour ;
- Si votre photo représente une ou plusieurs personnes, vous attestez avoir recueilli leur accord et déclarez être seul responsable du respect du droit à l’image détenu par les personnes photographiées ;
- Vous garantissez l’Organisateur contre tout recours amiable ou judiciaire de la part d’un tiers en lien avec cette photo.
Envoyez-nous votre photo dès maintenant !


Formulaire de participation à l'opération "Ma Photo au Salon"
Ma Photo au Salon

Le Coin des Photographes

Exposez vos clichés ! Bienvenue dans le Coin des Photographes.

Le Salon de la Photo a créé en 2014 sa toute première galerie, baptisée LE COIN DES PHOTOGRAPHES. Cette année, le Salon de la Photo renouvelle l'expérience en proposant - en nombre limité - l'opportunité à des amateurs comme à des professionnels de venir présenter leur travail sur le Salon, dans un espace entièrement dédié.
Venez promouvoir votre talent, votre travail, votre passion

Les modules proposés comprennent :

    Moquette (coloris défini ultérieurement)
     Cloisons recouvertes de coton gratté blanc et espaces individuels séparés par une bande noire de 50cm
    Éclairage spots HQ1
    Mise à disposition de prises électriques
     Enseigne au nom du photographe
    Réserve commune
    Coffre de rangement
    Présentoir individuel

Pour un tarif de 520€ HT*.

Téléchargez ici votre dossier de participation au Coin des Photographes du Salon de la Photo 2018 :
DP Coin des Photographes 2018
CHARTE COIN DES PHOTOGRAPHES

Charte du Coin des Photographes
Votre contact pour toute information et pour votre inscription : mireille.estienne@comexposium.com

*Plusieurs modules disponibles par participant dans la limite de disponibilité des modules.
Les talents présents en 2017 :

Yvon MONET - Emmanuel GILBERT - Vladimir MYSLEK - MB PHOTOGRAPHIE - Marie-Noelle SARGET - Michel LEANG CAMBODGE - LA CLEF PROD - Arié BOTBOL - Roger NORMAND - Adriana BOTO - Michel GUILLAUMEAU - Sebastien MASSON – SOPATY - Jean-Michel NEDELEC - Christophe COSSET - Pierre-Louis CUKERMAN - Samuel FERON - TERRA QUANTUM - Claude BERNARDON - Valérie CHAUFFOUR - Elodie VONNET - Julien KERDUFF - EYES OF EMOTION - Emma BOURDEREAU - Isabelle BESSON - Cassandre GIROS - Alexandre BRENDEL - Marianne LE GOURRIEREC - Alejandra ROSSO - OB GALLERY - AT RAYOUX PHOTOGRAPHY -Karim AIT-ADJEDJOU - Annabelle BOYER - Laure GIBAULT - Rémi ITHOROTZ

Découvrez leurs travaux sur Instagram :  https://instagram.com/salonphotoparis/










Du jeudi 8 au lundi 12 novembre, au Parc des expositions de la Porte de Versailles
(1 place de la Porte de Versailles 75015 Paris) 


HORAIRES DU SALON DE LA PHOTO

Du jeudi 8 au dimanche 11 novembre : 10h - 19h

Le lundi 12 novembre : 10h - 18h





 Plan du Salon de la Photo



Plan 2018 du Salon de la Photo

Le Salon de la Photo vous accueille cette année dans le Pavillon 5 du parc des expositions de la Porte de Versailles.
Retrouvez les 200 exposants sur deux niveaux, organisés respectivement autour de la pratique de la photographie, et du matériel.
Pavillon 5.1 – l’Atelier Photographique

La technique et la formation photographique sont à l’honneur. Vous trouverez ici toute l'offre de formation, écoles, et de voyages autour de la photo. Une large partie est aussi consacrée à l'impression, que ce soient les matériels, les papiers, ou les labos (notamment argentique). C'est également sur ce niveau que se trouve l'ensemble des exposants s'adressant à une cible de visiteurs professionnels, et notamment le Forum des Pros, avec un cycle de conférnces qui leur est adressé. Une visite du hall 5.1 ne serait pas complète sans un passage par le Coin des Photographes, la (re)découverte des oeuvres de Bernard Plossu prêtés par la Maison Européenne de la Photographie (MEP) encore les conférences proposées dans la salle des Grandes Rencontres.
Pavillon 5.2 – Le Showroom

Au niveau supérieur, le "showroom" se dévoile. Les fabricants d'appareils photos et d’accessoires vous attendent pour vous montrer et faire tester tous leurs nouveaux produits. Retrouvez également le Village de Vente où 3 enseignes de distribution vous proposent d’acheter et d’emporter les produits présentés au salon. L'exposition inédite " Itinéraires " de FC Gundlach, sans oublier les Zooms de Paris et de Yokohama, La Photo Culinaire avec le FIPC ou encore la Photo de Nu.

Vestiaire

TARIFS

    VÊTEMENT : 2 €
    PETIT BAGAGE : 3 €
    GROS BAGAGE : 4 €

Posts les plus consultés de ce blog

JANE EVELYN ATWOOD

BRASSAÏ