Antoine d'Agata

 

 


 

 Deux histoires sont ici mêlées, celle du Mexique et celle que l’auteur entretient avec la violence d’une communauté qu’il a vu se désagréger.

28 octobre – 4 décembre 2021
Galerie les filles du Calvaire
17 rue des filles du Calvaire
75003 Paris

Antoine d'Agata, Les filles du Calvaire, Paris - Gens d'images

16 oct. 2021 — Antoine d'Agata, Oscurana, Mexique, 2013-2015. Antoine d'Agata – Codex | Mexico, 1986–2021. 1986 – 2021. Le corpus présenté à la galerie est ...
 
 
 « Aucune tendresse particulière pour la photographie mais le besoin de faire cracher à l’appareil ce qui n’a pas été dit. Ne pas considérer la chose mais l’avaler entière. Cracher le morceau. La matière est là, dans les ornières du réel. Par l’accoutumance tenace à la douleur et à la jouissance, je décortique la mécanique de nos corps devenus pantins, soumis à la peur et au désir. »
 
 
 « Depuis quarante ans, - bien avant de devenir photographe -, je vis, à travers mon
expérience propre, au Mexique comme ailleurs, dans cette exigence d’un commun

possible, au sein de la communauté de ceux qui n’ont pas de communauté»,

comme la nomme George Bataille, d’une «communauté des amants» au sens large,

amoureuse et défoncée, invisible et infiniment fragmentée, de ceux qui n’ont rien

que leur corps pour survivre, sentir et exister. »
 

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