William Klein

William Klein, en 2002 à la Maison européenne de la Photographie
Photographi

HOMMAGE

William Klein, mort d'un visionnairehttps://www.lepoint.fr › Culture


William Klein a toujours tracé sa route d’artiste et de photographe en solitaire, en dehors des clous, suivant son instinct. Installé sans regret loin de son pays d’origine, les Etats-Unis, avec lequel il a entretenu une relation d’amour-haine, cet amoureux de la peinture s’est jeté à corps perdu dans la photographie. Et il a donné naissance à un des livres de photo les plus frappants et les plus mythiques de l’histoire, Life is Good & Good for You in New York (Vista Books, 1956), consacré à sa ville natale.

Sorti en 1956, deux ans avant Les Américains, de Robert Frank (Delpire, 1958), cet ouvrage 

devenu introuvable est alors un pied de nez à la tradition du reportage, à la photo documentaire 

et à la photo d’art classique : William Klein y collectionne des images floues, décadrées, il montre

 des humains coupés ou serrés dans l’image, accumule dans les pages mots et réclames 


LibérationMort du photographe William Klein, agitateur en noir et blanc


Avant lui, la photographie était timide, un peu «tarte» – ce sont ses propres mots. Avec lui, elle est devenue brutale, insolente et rentre-dedans.

Le MondeWilliam Klein, l'outsider de la photographie, est mort



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